Les actualités du Samedi 01 décembre 2012 dans les métiers du web - Marmits.com - Reims

Le: 01 12 2012 à 22:44 Consultant référencement : Laurent Bourrelly Auteur: Laurent

Donc, si je résume, Bing se met en colère parce que Google Shopping devient payant. Franchement, Bing devrait éviter les coups d’éclats activistes anti-Google. Avec l’opération Scroogled, non seulement c’est l’hopital qui se fout de la charité, mais surtout c’est très maladroit. Merci Bing de nous avertir que Google a vendu son âme au diable. [...]

Le: 01 12 2012 à 17:02 presse-citron.net Auteur: Quentin-Lechemia

Toute personne heureux possésseur d’un smartphone connaît, à coup sur, l’application Shazam. Pour ceux qui ne connaissent pas, Shazam est une application – sûrement envoyée par les dieux – qui permet de reconnaître une chanson grâce à son téléphone. Une musique passe dans votre bar préféré, sur votre autoradio ? Vous adorez mais ne savez

Le: 01 12 2012 à 17:00 Framablog Auteur: Goofy

Souvent accusés — non sans raison — de pousser à la surconsommation médicamenteuse en tirant un profit maximal de nos besoins en thérapies, les grands laboratoires pharmaceutiques gardent jalousement le secret de leurs données. Celles des recherches menant aux médicaments mis sur le marché, en particulier.

Cory Doctorow, nous fait part ici de ses convictions : suivant le principe récemment institué outre-Manche qui consiste à ouvrir les données de recherches financées par l’état, il considère que celles de l’industrie pharmaceutiques doivent être elles aussi ouvertes.

Découvrez pourquoi sous la plume d’un blogueur influent et avocat du libre et de l’open source (tous ses billets déjà traduits sur notre blog). Idéalisme et optimisme démesuré ou revendication légitime et combat à mener ? À vous d’en juger.

epSos.de - CC by

Pourquoi toutes les recherches pharmaceutiques devraient être en libre accès

Why all pharmaceutical research should be made open access

Cory Doctorow - 20 novembre - The Guardian
(Traduction Framalang : Slystone, Amine Brikci-N, goofy, peupleLa, Antoine, ga3lig)

Le gouvernement du Royaume-Uni veut que toute recherche financée par des fonds publics soit accessible — mais on devrait en exiger autant des industries pharmaceutiques.

Je déjeunais récemment avec le plus loyal défenseur du libre accès que vous puissiez rencontrer (je ne le nommerai pas, car ce serait grossier de lui attribuer des remarques fortuites sans sa permission). Nous parlions du projet de rendre obligatoire la publication libre et gratuite des recherches scientifiques financées par l’État. Aux États-Unis, il existe le Federal Public Research Act, et au Royaume-Uni il y a la déclaration du gouvernement de coalition selon laquelle la recherche financée par l’État devrait être disponible sans frais, sous une licence Creative Commons qui permette la copie illimitée.

Nous avons parlé de l’excellent nouveau livre de Ben Goldacre, intitulé Bad Pharma, dans lequel l’auteur documente le problème des « données manquantes » dans la recherche pharmaceutique (il dit que près de la moitié des essais cliniques réalisés par l’industrie pharmaceutique ne sont jamais publiés). Les essais non publiés sont, bien entendu, ceux qui montrent les nouveaux produits des labos pharmaceutiques sous un jour peu flatteur – ceux qui suggèrent que leurs médicaments ne sont pas très efficaces ou n’ont aucun effet, voire sont activement nocifs.

La pratique des industries qui consiste à éliminer les preuves scientifiques date de plusieurs décennies — et certains chercheurs indépendants le font également. Ce constat a conduit Goldacre à déclarer qu’aucune de nos connaissances en matière de médecine moderne ne peut être considérée comme valide, et il estime qu’il est urgent de contraindre les industries pharmaceutiques à publier toutes ces données laissées dans l’ombre, afin que les scientifiques puissent recalculer les résultats et déterminer ce qui fait vraiment effet.

J’ai mentionné tout cela à mon compagnon de déjeuner, en concluant par : « et c’est pourquoi toute la recherche pharmaceutique devrait être en libre accès ».

« Toute la recherche pharmaceutique financée par l’État, a-t-il rectifié, comme s’il corrigeait une erreur de calcul élémentaire. Si le public paie pour cela, il doit pouvoir la voir, mais si les entreprises pharmaceutiques veulent payer pour leur propre recherche, alors… »

Je savais d’où il tenait cette position. L’un des arguments les plus solides en faveur de l’accès au public des publications universitaires et scientifiques est celui de la « dette envers la population » : si le contribuable paie pour vos recherches, alors vos recherches doivent lui appartenir. C’est un bon argument, mais il n’est pas entièrement convaincant pour une raison. Il est vulnérable au contre-argument du « partenariat public/privé », qui dit: « ah, oui, mais pourquoi ne pas faire en sorte que le public bénéficie d’un retour sur investissement maximal en faisant payer très cher l’accès à la recherche financée par l’État et en renvoyant le profit au secteur de la recherche ? ». Je pense que cet argument est absurde, et c’est l’avis de la majorité des économistes qui se sont penchés sur la question.

La recherche sans entraves et librement accessible constitue un bien commun qui génère bien plus de valeur ajoutée au profit de tous que le profit rapide qu’on extorque des consommateurs en les faisant payer à l’entrée comme à la sortie. Cela s’est confirmé dans de multiples domaines, même si l’exemple-type est le succès massif des cartes géologiques des États-Unis librement disponibles, qui ont dégagé un profit tel qu’en comparaison, les bénéfices réalisés sur la vente des cartes d’État-major au Royaume-Uni semblent une misère.

Voilà pourquoi le travail de Goldacre est aussi important à ce point du débat. La raison pour laquelle on devrait exiger que les laboratoires pharmaceutiques publient leurs résultats, ce n’est pas qu’ils ont reçu des subventions sur fonds publics. C’est plutôt parce qu’ils demandent une certification de l’état qui garantisse que leurs produits sont propres à la consommation, et qu’ils demandent aux organismes de régulation d’autoriser les docteurs à rédiger des ordonnances prescrivant ces produits-là. Nous avons besoin qu’ils publient leurs recherches, même si cette action induit des pertes de profit, car sans cette recherche, nous ne pouvons pas savoir si ces produits sont propres à la consommation.

On emploie un argument analogue en faveur de l’utilisation de logiciels libres ou open source pour les applications dans l’industrie ou dans le domaine de la santé, comme le système OpenEyes conçu par le centre hospitalier d’ophtalmologie de Moorfields et d’autres institutions dans le monde, après l’effondrement du système électronique de suivi de santé de la National Health Service (NdT : le NHS est l’équivalent de la Sécurité Sociale). Ils n’ont pas préféré un système à accès libre à un système propriétaire pour des raisons idéologiques, mais plutôt pour des raisons qui sont avant tout pratiques. Aucun hôpital n’autoriserait jamais une société d’ingénierie à construire la nouvelle aile d’un hôpital en utilisant des méthodes propriétaires pour calculer la répartition du poids. Ils n’accepteraient pas une nouvelle aile dont les plans de construction seraient secrets, dont seul l’entrepreneur connaîtrait les emplacements des canalisations et des conduits de ventilation.

Il est certainement vrai que les sociétés d’ingénierie et les architectes pourraient gagner davantage si leurs méthodes étaient propriétaires. Mais on exige un accès ouvert, car on doit pouvoir entretenir les hôpitaux quels que soient les aléas que peut connaître toute société d’ingénierie, et parce qu’on veut la garantie que l’on obtient avec la possibilité de vérifier plusieurs fois les calculs de charge par nous-mêmes. Les systèmes informatiques qui sont utilisés dans les hôpitaux pour gérer les patients sont tout autant vitaux que l’emplacement des câbles ethernet dans les murs. Et donc Moorfields s’attend à ce qu’ils soient autant libres d’accès que les plans du bâtiment.

Et c’est pourquoi les grands labos pharmaceutiques doivent montrer leur travail. Sans tenir compte de ce qu’ils pourraient rapporter, leurs produits ne doivent pas être autorisés sur le marché sans cette exposition. Il est important de placer la recherche financée par l’état entre les mains du public, mais l’histoire de l’accès libre ne va pas s’arrêter là, elle ne fait que commencer.

Crédit photo : epSos.de (Creative Commons By)

Le: 01 12 2012 à 16:19 blog.openclassrooms.com Auteur: noreply@siteduzero.com (Thunderseb et Nesquik69)

Bienvenue à tous,

Vous voici sur la page d'accueil du cours traitant du langage Web Javascript ! Au cours de la lecture de ce cours vous apprendrez comment dynamiser vos pages Web et les rendre beaucoup plus attrayantes pour vos visiteurs. Ce cours traitera de nombreux sujets, en partant des bases. Vous apprendrez à réaliser des animations, des applications complexes et à utiliser ce langage conjointement avec le HTML5, la nouvelle version du fameux langage de balisage du W3C !

Ce cours va principalement aborder l'usage du Javascript dans l'environnement d'un navigateur Web, il est donc de rigueur que vous sachiez coder à la fois en HTML et en CSS. Le PHP peut être un plus, mais vous n'en aurez réellement besoin que lorsque nous aborderons la partie AJAX, qui traite des communications entre le Javascript et un serveur.

Voici quelques exemples de ce qui est réalisable grâce au Javascript :


une vidéo affichée en HTML5 (sans Flash) sur Youtube, l'usage du Javascript y est intensif un jeu basé sur le concept de Tetris, nommé Torus, qui utilise la célèbre balise <canvas> ; une modélisation 3D d'une Lamborghini affichée grâce au WebGL et à la librairie Three.js.


De gauche à droite, vous pouvez trouver :
  • Une vidéo affichée en HTML5 (sans Flash) sur Youtube, l'usage du Javascript y est intensif ;
  • Un jeu basé sur le concept de Tetris, nommé Torus, qui utilise la célèbre balise <canvas> ;
  • Une modélisation 3D d'une Lamborghini affichée grâce à l'API WebGL et à la bibliothèque Three.js.

Nous espérons vous avoir convaincus de vous lancer dans l'apprentissage de ce fabuleux langage qu'est le Javascript !

Sur ce, bonne lecture !



JavaScript

Ce cours vous plaît ?

Si vous avez aimé ce cours, vous pouvez retrouver le livre "Dynamisez vos sites web avec JavaScript" des mêmes auteurs, en vente sur le Site du Zéro, en librairie et dans les boutiques en ligne. Vous y trouverez ce cours adapté au format papier.

Plus d'informations

Le: 01 12 2012 à 15:20 Websourcing.fr Auteur: Lionel Roux


Article en anglais : Personal Branding – 7 Mistakes That Hurt You have been working hard on your personal branding of late, and stumble across the many trials and tribulations associated with defining “my brand.” For example, do you use your company name or your own name for your twitter account? Do you work on building up your own name or a business brand name? Which has more longevity? Are they mutually exclusive?

Source


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Cet article original est publié sur Websourcing.fr.
Toute reproduction, même partielle, est interdite sans l’accord explicite de son auteur sauf citation de quelques lignes accompagnées d’un lien (permalien : http://blog.websourcing.fr/ontheweb/personal-branding-7-erreurs-font-mal/) vers ce billet.

Personal Branding : les 7 erreurs qui font mal

Le: 01 12 2012 à 14:52 Framablog Auteur: aKa

On m’a signalé ce reportage issu de la télé municipale d’Issy-les-Moulineaux, titré « L’école de demain est à Issy ! », et ainsi décrit sur son canal Dailymotion :

L’école des Chartreux est la seule école française à participer à un programme international initié par Microsoft sur l’école innovante. Elle devient ainsi l’acteur et le témoin d’une toute nouvelle façon d’apprendre en primaire. La mise en œuvre de ce système donne aux élèves isséens l’accès à des équipements et des techniques de communication qui font aujourd’hui définitivement partie de notre société. Le projet propose d’ailleurs aux enseignants plusieurs outils pour élaborer des approches pédagogiques totalement innovantes : tableau numérique interactif, tablettes PC individuelles, logiciels éducatifs spécifiques… De quoi habituer les jeunes d’Issy aux outils de demain.

Il s’agit donc de l’école des Chartreux qui, comme on peut le lire sur ce document, fait partie des « Microsoft Innovative Schools Program ». Exactement comme l’école Châteaudun d’Amiens dont j’avais démontré (et tenté de démonter) l’entrisme Microsoft dans un cinglant billet.

Tout y est en tout cas ici : le dynamisme enthousiaste du reporter, l’instituteur innovant et motivé, les témoignages d’élèves ravis, la caution de l’inspection académique, et le VRP Microsoft qui joue les experts pédagogiques es modernité (en l’occurrence, bien évidemment, mon ami Thierry de Vulpillières)



Je manque de temps pour en dire ce que je pense alors j’ai décidé de sous-traiter en faisant appel à votre légendaire sagacité dans les commentaires ;)

Parce que ce qui me choque avant tout dans ce projet ainsi présenté, c’est qu’il semble ne laisser aucune place au débat.

« Il faut être absolument moderne », disait Arthur Rimbaud…

Le: 01 12 2012 à 11:21 ballajack.com Auteur: Ballajack

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Le: 01 12 2012 à 10:47 Webdesigner Depot Auteur: Walter

Every week we feature a set of comics created exclusively for WDD. The content revolves around web design, blogging and funny situations that we encounter in our daily lives as designers. These great cartoons are created by Jerry King, an award-winning cartoonist who’s one of the most published, prolific and versatile cartoonists in the world [...]

Le: 01 12 2012 à 09:19 WebdesignerNews Auteur: admin

Remote Preview is a tiny JavaScript based tool that allows you to preview any URL on a large number of mobile devices simultaneously. Just enter a URL, hit enter, and a new URL gets automatically loaded on each device. Remote preview works on platforms like Android, Blackberry, iOS, Maemo, Meego, Symbian, Windows Phone and WebOS. [...]

Le: 01 12 2012 à 01:45 jqueryrain.com Auteur: Admin

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