Les actualités du Lundi 10 novembre 2025 dans les métiers du web - Marmits.com - Reims

Le: 10 11 2025 à 16:20 Journal du Net Développeurs Auteur: Raphael Hazan

Boosté par les tensions géopolitiques et des prévisions de croissance optimistes, le secteur a rapidement changé d'image et enclenché sa structuration.

Le: 10 11 2025 à 15:53 Journal du Net Développeurs Auteur: Antoine Crochet-Damais

Choix de l'OS, optimisation de la surface d'exposition, normalisation des process de développement... Le point sur les bonnes pratiques à suivre pour protéger l'orchestrateur contre tout type d'intrusion.

Le: 10 11 2025 à 15:20 Alsacreations.com - Actualités Auteur: Lisa

Dans le monde du design numérique, la pression est constante. Il faut ajouter la dernière fonctionnalité à la mode, intégrer des micro-interactions "innovantes", ou parsemer l'interface d'animations pour "ravir" l'utilisateur. Cette course à l'ajout permanent part souvent d'une bonne intention : créer une expérience mémorable. Pourtant, cette approche peut rapidement conduire à des interfaces bruyantes, lentes et chargées coignitivement, qui frustrent plus qu'elles n'aident.

Et si je vous dis que les décisions de design les plus impactantes n'étaient pas des ajouts, mais des retraits ? Si la véritable excellence résidait dans la retenue, la simplification et une compréhension plus profonde de la psychologie de l'utilisateur ? Oui, vous pouvez dès à présent arrêter de remplacer votre curseur par un rond de couleurs qui suit en décalé le mouvement de la souris.

Les interfaces les plus efficaces sont souvent celles qui se font oublier, qui permettent à l'utilisateur d'atteindre son objectif avec un minimum de friction. Comme le résume parfaitement le concepteur-ingénieur Emil Kowalski :

When done right, animations make an interface feel predictable, faster, and more enjoyable to use… But they can also do the opposite.

Qu'est-ce qu'une animation bien pensée ?

Pour commencer, demandez-vous pourquoi est-ce qu'on est autant attiré par les mouvements dans nos interfaces. C'est indéniable, une animation bien pensée à un vrai pouvoir de séduction : elle donne une impression de qualité, de produit bien fini, qui plait autant aux designers qu'aux utilisateurs. Mais les bonnes animations ne sont pas là juste pour faire joli, elles rendent l'interface plus prévisible car le mouvement nous guide, elles expliquent comment les éléments sont liés entre eux, et rendent l'experience globale plus agréable. En fait, une animation réussie a toujours une intention, un but bien précis. Parfois sont rôle et d'expliquer une fonctionnalité, d'autres fois c'est pour nous répondre, pour confirmer une action comme un bouton qui réagit quand on clique dessus. Elle peut aussi nous orienter en créant une cohérence spatiale, en nous montrant d'ou vient une fenêtre par exemple.

Donc avant d'envisager le moindre mouvement, la première question stratégique à se poser est « Pourquoi ? ». Chaque animation doit servir un objectif clair et justifiable. Sans finalité, le mouvement n'est qu'une décoration superflue qui alourdit l'interface, augmente la charge cognitive et ralentit l'utilisateur.

Évaluer la fréquence d'utilisation et l'intention de l'utilisateur

L'idée n'est pas de supprimer toute forme d'animation, mais il s'agit plutôt de l'utiliser avec intention, avec un but précis. Et pour ça, la toute première question à se poser est : à quelle fréquence une personne va t-elle interagir avec cet élément ?

Prenons un exemple très concret : le menu d'un logiciel (exemple ci-dessus en vidéo avec le logiciel Figma). C'est un outil qu'on peut utiliser une centaine de fois par jour. Dans ce contexte le moindre petit délai, la moindre animation, même très courte devient vite une irritation. Pour ce genre d'interaction, la meilleure animation, ce n'est pas d'animation du tout. L'efficacité avant tout. Et cela nous amène à une sorte de règle d'or : les actions qui sont lancées depuis le clavier ne devraient jamais être animées. Pourquoi ? Qu'il s'agisse de naviguer dans une liste avec les flèches ou d'activer un raccourci, l'utilisateur s'attend à une réactivité instantanée. Animer ces interactions crée une latence perçue et une déconnexion frustrante entre l'action physique et la réponse de l'interface.

Et si on choisit d'animer, à quelle vitesse ?

Une interface n'a pas seulement besoin d'être rapide, elle doit surtout paraître rapide. C'est le concept clé de la performance perçue. L'expérience utilisateur est façonnée par la psychologie humaine, pas uniquement par des mesures brutes en millisecondes. L'exemple du spinner de chargement est parlant : un indicateur qui tourne plus vite peut donner l'impression que l'application charge les données plus rapidement, même si le temps de chargement réel est strictement identique. L'animation influence directement la patience de l'utilisateur et sa perception de l'efficacité du système.

Mais si on choisit d'animer, à quelle vitesse ? C'est le deuxième principe fondamental, car la perception de la vitesse est vraiment essentielle. Et le chiffre magique à garder en tête est 300 ms. C'est la règle de base. Pour qu'une animation d'interface paraisse réactive, quasi instantanée il faut qu'elle demeure en dessous de ce seuil : au-delà notre cerveau commence à percevoir un retard, une lenteur.

Par exemple, un menu déroulant qui s'anime en 180 ms donne une sensation de réactivité immédiate, connectée à l'action de l'utilisateur. Le même menu s'animant en 400 ms commencera à sembler lent et déconnecté.

Le piège des animations

Mais voilà le piège, un mouvement mal pensé, ajouté sans réel intention peut avoir l'effet exactement inverse. Il peut rendre une interface imprévisible, donner une sensation de lenteur et devenir profondemment agaçant. Le plaisir initial se transforme alors très vite en frustration. Et c'est là qu'on touche au coeur du problème : le coût caché de ce qu'on pourrait appeler le "desordre numérique". Quand le mouvement est utilisé à tort et à travers, il crée un bruit visuel et cognitif qui pénalise tout le monde (et en particulier les personnes neuroatypiques).

Le concept clé à comprendre ici c'est la surchage sensorielle. C'est tout simple : c'est quand le cerveau reçoit tellement d'informations visuelles, comme des mouvements dans tous les sens qu'il sature et il n'arrive plus à traiter l'information correctement. Et ça, ça peut provoquer de l'angoisse et une vraie difficulté à se concentrer sur ce qu'on est entrain de faire.

Les choix en matière d'animation ont un impact direct sur le bien-être et la capacité d'utilisation des interfaces pour de nombreux utilisateurs, en particulier les personnes neuroatypiques (incluant les personnes autistes, TDAH, ou dyslexiques). Ce qui peut être une décoration anodine pour un utilisateur peut devenir un obstacle insurmontable pour un autre.

Le problème principal réside dans les animations non contrôlées. Les carrousels à lecture automatique, le défilement parallaxe et les mouvements décoratifs superflus peuvent déclencher une surcharge sensorielle, des nausées et des difficultés de concentration. Pour concevoir des expériences véritablement inclusives, les équipes de développement doivent adopter les pratiques suivantes comme des exigences fondamentales :

  • Respecter les Préférences Système : La plupart des systèmes d'exploitation modernes offrent une option « réduire les animations » (« reduce motion »). Il est impératif que les applications et les sites web détectent et respectent cette préférence de l'utilisateur.

  • Fournir un Contrôle Explicite : Tout élément en mouvement continu, tel qu'un carrousel, doit obligatoirement comporter un bouton de pause clairement visible et accessible.

Une personne utilisant une connexion internet lente, un appareil plus ancien, ou se trouvant simplement dans un environnement distrayant, appréciera également une interface plus calme et prévisible. La création d'espaces numériques « plus calmes » n'est pas une mesure de niche, mais une amélioration universelle de l'expérience utilisateur.

Conclusion

Le but ce n'est pas juste de faire de bonnes animations, c'est d'aller plus loin. De viser l'excellence. C'est de construire des interfaces ou chaque élément, et donc chaque mouvement, à une vraie raison d'être. L'objectif doit être de créer des surprises plaisantes pour des interactions rares, et non des frustrations quotidiennes pour des tâches courantes.

Voici un petit guide simple :

  • On définit le but : est-ce que c'est pour expliquer, guider, ou juste faire plaisir ?
  • On pense à la fréquence : plus c'est utilisé, moins ça doit bouger
  • On reste rapide, toujours sous les 300 ms
  • On donne le contrôle, en respectant toujours les préférences de la personne qui utilise l'interface.

Et vous, quelle est la seule chose que vous pourriez retirer de votre interface pour l'améliorer dès aujourd'hui ?

Publié par Alsacreations.com

Le: 10 11 2025 à 15:20 Alsacreations.com - Apprendre Auteur: Lisa

Dans le monde du design numérique, la pression est constante. Il faut ajouter la dernière fonctionnalité à la mode, intégrer des micro-interactions "innovantes", ou parsemer l'interface d'animations pour "ravir" l'utilisateur. Cette course à l'ajout permanent part souvent d'une bonne intention : créer une expérience mémorable. Pourtant, cette approche peut rapidement conduire à des interfaces bruyantes, lentes et chargées coignitivement, qui frustrent plus qu'elles n'aident.

Et si je vous dis que les décisions de design les plus impactantes n'étaient pas des ajouts, mais des retraits ? Si la véritable excellence résidait dans la retenue, la simplification et une compréhension plus profonde de la psychologie de l'utilisateur ? Oui, vous pouvez dès à présent arrêter de remplacer votre curseur par un rond de couleurs qui suit en décalé le mouvement de la souris.

Les interfaces les plus efficaces sont souvent celles qui se font oublier, qui permettent à l'utilisateur d'atteindre son objectif avec un minimum de friction. Comme le résume parfaitement le concepteur-ingénieur Emil Kowalski :

When done right, animations make an interface feel predictable, faster, and more enjoyable to use… But they can also do the opposite.

Qu'est-ce qu'une animation bien pensée ?

Pour commencer, demandez-vous pourquoi est-ce qu'on est autant attiré par les mouvements dans nos interfaces. C'est indéniable, une animation bien pensée à un vrai pouvoir de séduction : elle donne une impression de qualité, de produit bien fini, qui plait autant aux designers qu'aux utilisateurs. Mais les bonnes animations ne sont pas là juste pour faire joli, elles rendent l'interface plus prévisible car le mouvement nous guide, elles expliquent comment les éléments sont liés entre eux, et rendent l'experience globale plus agréable. En fait, une animation réussie a toujours une intention, un but bien précis. Parfois sont rôle et d'expliquer une fonctionnalité, d'autres fois c'est pour nous répondre, pour confirmer une action comme un bouton qui réagit quand on clique dessus. Elle peut aussi nous orienter en créant une cohérence spatiale, en nous montrant d'ou vient une fenêtre par exemple.

Donc avant d'envisager le moindre mouvement, la première question stratégique à se poser est « Pourquoi ? ». Chaque animation doit servir un objectif clair et justifiable. Sans finalité, le mouvement n'est qu'une décoration superflue qui alourdit l'interface, augmente la charge cognitive et ralentit l'utilisateur.

Évaluer la fréquence d'utilisation et l'intention de l'utilisateur

L'idée n'est pas de supprimer toute forme d'animation, mais il s'agit plutôt de l'utiliser avec intention, avec un but précis. Et pour ça, la toute première question à se poser est : à quelle fréquence une personne va t-elle interagir avec cet élément ?

Prenons un exemple très concret : le menu d'un logiciel (exemple ci-dessus en vidéo avec le logiciel Figma). C'est un outil qu'on peut utiliser une centaine de fois par jour. Dans ce contexte le moindre petit délai, la moindre animation, même très courte devient vite une irritation. Pour ce genre d'interaction, la meilleure animation, ce n'est pas d'animation du tout. L'efficacité avant tout. Et cela nous amène à une sorte de règle d'or : les actions qui sont lancées depuis le clavier ne devraient jamais être animées. Pourquoi ? Qu'il s'agisse de naviguer dans une liste avec les flèches ou d'activer un raccourci, l'utilisateur s'attend à une réactivité instantanée. Animer ces interactions crée une latence perçue et une déconnexion frustrante entre l'action physique et la réponse de l'interface.

Et si on choisit d'animer, à quelle vitesse ?

Une interface n'a pas seulement besoin d'être rapide, elle doit surtout paraître rapide. C'est le concept clé de la performance perçue. L'expérience utilisateur est façonnée par la psychologie humaine, pas uniquement par des mesures brutes en millisecondes. L'exemple du spinner de chargement est parlant : un indicateur qui tourne plus vite peut donner l'impression que l'application charge les données plus rapidement, même si le temps de chargement réel est strictement identique. L'animation influence directement la patience de l'utilisateur et sa perception de l'efficacité du système.

Mais si on choisit d'animer, à quelle vitesse ? C'est le deuxième principe fondamental, car la perception de la vitesse est vraiment essentielle. Et le chiffre magique à garder en tête est 300 ms. C'est la règle de base. Pour qu'une animation d'interface paraisse réactive, quasi instantanée il faut qu'elle demeure en dessous de ce seuil : au-delà notre cerveau commence à percevoir un retard, une lenteur.

Par exemple, un menu déroulant qui s'anime en 180 ms donne une sensation de réactivité immédiate, connectée à l'action de l'utilisateur. Le même menu s'animant en 400 ms commencera à sembler lent et déconnecté.

Le piège des animations

Mais voilà le piège, un mouvement mal pensé, ajouté sans réel intention peut avoir l'effet exactement inverse. Il peut rendre une interface imprévisible, donner une sensation de lenteur et devenir profondemment agaçant. Le plaisir initial se transforme alors très vite en frustration. Et c'est là qu'on touche au coeur du problème : le coût caché de ce qu'on pourrait appeler le "desordre numérique". Quand le mouvement est utilisé à tort et à travers, il crée un bruit visuel et cognitif qui pénalise tout le monde (et en particulier les personnes neuroatypiques).

Le concept clé à comprendre ici c'est la surchage sensorielle. C'est tout simple : c'est quand le cerveau reçoit tellement d'informations visuelles, comme des mouvements dans tous les sens qu'il sature et il n'arrive plus à traiter l'information correctement. Et ça, ça peut provoquer de l'angoisse et une vraie difficulté à se concentrer sur ce qu'on est entrain de faire.

Les choix en matière d'animation ont un impact direct sur le bien-être et la capacité d'utilisation des interfaces pour de nombreux utilisateurs, en particulier les personnes neuroatypiques (incluant les personnes autistes, TDAH, ou dyslexiques). Ce qui peut être une décoration anodine pour un utilisateur peut devenir un obstacle insurmontable pour un autre.

Le problème principal réside dans les animations non contrôlées. Les carrousels à lecture automatique, le défilement parallaxe et les mouvements décoratifs superflus peuvent déclencher une surcharge sensorielle, des nausées et des difficultés de concentration. Pour concevoir des expériences véritablement inclusives, les équipes de développement doivent adopter les pratiques suivantes comme des exigences fondamentales :

  • Respecter les Préférences Système : La plupart des systèmes d'exploitation modernes offrent une option « réduire les animations » (« reduce motion »). Il est impératif que les applications et les sites web détectent et respectent cette préférence de l'utilisateur.

  • Fournir un Contrôle Explicite : Tout élément en mouvement continu, tel qu'un carrousel, doit obligatoirement comporter un bouton de pause clairement visible et accessible.

Une personne utilisant une connexion internet lente, un appareil plus ancien, ou se trouvant simplement dans un environnement distrayant, appréciera également une interface plus calme et prévisible. La création d'espaces numériques « plus calmes » n'est pas une mesure de niche, mais une amélioration universelle de l'expérience utilisateur.

Conclusion

Le but ce n'est pas juste de faire de bonnes animations, c'est d'aller plus loin. De viser l'excellence. C'est de construire des interfaces ou chaque élément, et donc chaque mouvement, à une vraie raison d'être. L'objectif doit être de créer des surprises plaisantes pour des interactions rares, et non des frustrations quotidiennes pour des tâches courantes.

Voici un petit guide simple :

  • On définit le but : est-ce que c'est pour expliquer, guider, ou juste faire plaisir ?
  • On pense à la fréquence : plus c'est utilisé, moins ça doit bouger
  • On reste rapide, toujours sous les 300 ms
  • On donne le contrôle, en respectant toujours les préférences de la personne qui utilise l'interface.

Et vous, quelle est la seule chose que vous pourriez retirer de votre interface pour l'améliorer dès aujourd'hui ?

Publié par Alsacreations.com

Le: 10 11 2025 à 15:18 codrops Auteur: Agustin Capeletto

Learn how stacked grids and 3D transforms can bring heightmaps to life using nothing but the power of CSS.

Le: 10 11 2025 à 14:19 korben.info Auteur: Korben

– Article invité, rédigé par Vincent Lautier, contient des liens affiliés Amazon –

Au départ, j’étais persuadé que c’était encore un gadget pour geeks. Une lampe pour écran à plus de 130 euros ? Vraiment ? Et puis, après avoir vu la moitié de mes collègues journalistes et amis l’utiliser, j’ai craqué. Résultat : la BenQ ScreenBar Pro est devenue un indispensable de mon bureau, au point que je me demande comment j’ai pu bosser sans elle.

Le: 10 11 2025 à 12:31 WebdesignerNews Auteur: Robert Tanislav

I had a lot of fun talking with Arseni Harkunou on the Product Craft podcast. We cover a ton of ground!

Le: 10 11 2025 à 12:29 WebdesignerNews Auteur: Robert Tanislav

Drew Wilson is one of the people pulling that future into the present so this week’s episode is a deep dive into his vision for the new design tool Opacity.

Le: 10 11 2025 à 12:28 WebdesignerNews Auteur: Robert Tanislav

The CSS landscape has shifted fundamentally in 2025. Modern browsers now support native nesting, variables, and cascade layers—features that once justified a preprocessor as a mandatory first step in any project. Yet ask any seasoned frontend developer whether they’ve completely abandoned preprocessors, and you’ll likely hear a nuanced answer: it depends.

Le: 10 11 2025 à 12:28 WebdesignerNews Auteur: Robert Tanislav

A step-by-step guide to building high-performance 3D scroll effects with GSAP, ScrollTrigger, and CSS transform math.

Le: 10 11 2025 à 12:27 WebdesignerNews Auteur: Robert Tanislav

Today, ServiceNow, the AI platform for business transformation, and Figma announced a strategic collaboration to turn design vision into enterprise transformation.

Le: 10 11 2025 à 12:26 Journal du Net Développeurs Auteur: Luciana Uchôa-Lefebvre

Le directeur du quotidien québécois détaille sa stratégie pour protéger ses contenus "face à la spoliation de la propriété intellectuelle" par les éditeurs d'IA et pour renforcer sa relation directe avec son lectorat.

Le: 10 11 2025 à 12:26 WebdesignerNews Auteur: Robert Tanislav

Google’s Gemini 3.0 is quietly rolling out to select users ahead of an official announcement expected in late October 2025. Early testers report major improvements in coding, multimodal reasoning, and performance, positioning it to compete directly with ChatGPT and Claude.

Le: 10 11 2025 à 12:26 Journal du Net Développeurs Auteur: Luciana Uchôa-Lefebvre

Le directeur du quotidien québécois détaille sa stratégie pour protéger ses contenus "face à la spoliation de la propriété intellectuelle" par les éditeurs d'IA et pour renforcer sa relation directe avec son lectorat.

Le: 10 11 2025 à 12:24 WebdesignerNews Auteur: Robert Tanislav

This element is used to represent the header of a document or section. It typically contains introductory content such as the title, logo, and navigation links.

Le: 10 11 2025 à 12:23 WebdesignerNews Auteur: Robert Tanislav

When the ES2025 proposals dropped, many developers (myself included) were shocked. JavaScript could finally be written like poetry — expressive, readable, and ridiculously elegant.

Le: 10 11 2025 à 10:00 korben.info Auteur: Korben

Un économiseur d’écran, je pense que tout le monde voit ce que c’est.

Bon c’était très utile à l’époque des vieux écrans CRT pour éviter qu’ils ne gardent une trace fantôme à cause d’une image statique, mais aujourd’hui sur nos écrans modernes c’est devenu complétement inutile. Toutefois on continue à les utiliser parce que c’est joli et sympa.

Et bien bash-screensavers c’est pareil. Ce projet transforme non pas votre écran, mais juste votre terminal en feu d’artifice ASCII, en matrice, ou en simulation de vie cellulaire. C’est tout aussi joli et sympa même si bien sûr faire tourner ces screensavers comme ça consomme probablement plus d’énergie CPU que de laisser votre terminal en pause avec du texte statique.

Le: 10 11 2025 à 09:59 korben.info Auteur: Korben

Pendant que Samsung vous vendait ses Galaxy S22, S23 et S24 en vantant Knox, leur forteresse de sécurité niveau Pentagone, quelqu’un au Moyen-Orient transformait ces téléphones en micros espions à partir d’une simple photo de vacances envoyée à ses victimes sur WhatsApp.

Et ce petit manège a duré 9 putain de mois. Hé oui, toute cette histoire vient d’être révélée par l’ Unité 42 de Palo Alto Networks . Ce spyware s’appelle LANDFALL, et c’est un produit commercial vendu par Stealth Falcon (aussi connu sous le nom de FruityArmor), une boîte du Moyen Orient, spécialisée dans la surveillance, avec probablement un support client et tout le bazar qui va avec.

Le: 10 11 2025 à 09:42 korben.info Auteur: Korben

Cette pub, vous l’avez tous vue. “Voler une voiture ? Jamais ! Le piratage, c’est du vol.” Cette putain de pub qui passait en boucle sur TOUS les DVD entre 2004 et la fin des années 2000 et j’sais pas si vous vous souvenez mais elle était impossible à zapper. Obligé de se la taper avant de regarder un Matrix ou un Spider-Man fraichement acheté alors que pendant ce temps, votre pote qui avait téléchargé le film la veille sur eMule, lui, il n’avait pas à subir cette agression audiovisuelle (j’étais ce pote ^^).

Le: 10 11 2025 à 09:14 FrenchWeb.fr Auteur: LA REDACTION DE FRENCHWEB.FR

La Commission européenne prépare une nouvelle étape dans la gouvernance numérique de l’Union. Baptisé Digital Omnibus, ce train de mesures vise à simplifier un ensemble de réglementations devenues trop complexes et à renforcer la cohérence entre les grands textes adoptés depuis 2020 sur la donnée, la cybersécurité et l’intelligence artificielle. Derrière l’objectif technique, l’enjeu est …

L’article Qu’est-ce que le DIGITAL OMNIBUS, projet de refonte du cadre numérique européen? est apparu en premier sur FW.MEDIA.

Le: 10 11 2025 à 09:14 FrenchWeb.fr Auteur: LA REDACTION DE FW.MEDIA

La Commission européenne prépare une nouvelle étape dans la gouvernance numérique de l’Union. Baptisé Digital Omnibus, ce train de mesures vise à simplifier un ensemble de réglementations devenues trop complexes et à renforcer la cohérence entre les grands textes adoptés depuis 2020 sur la donnée, la cybersécurité et l’intelligence artificielle. Derrière l’objectif technique, l’enjeu est …

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Le: 10 11 2025 à 09:00 korben.info Auteur: Korben

– Article en partenariat avec Incogni

Quitter Internet en 2025 ne relève plus du fantasme de parano. Entre la collection frénétique des courtiers en données, les réseaux sociaux qui engrangent jusqu’à la dernière virgule de votre vie, et les catalogues d’offres commerciales connectées, rester visible, c’est laisser sa vie privée en pâture. Si l’idée de disparaître vous titille (genre vraiment disparaître, votre mère demandera des preuves) alors Incogni offre une rampe de sortie rare : l’automatisation de la purge numérique.

Le: 10 11 2025 à 08:57 korben.info Auteur: Korben

Vous naviguez sur le web en mode pépouze comme tous les jours… Et comme tous les jours, votre navigateur charge des scripts, des CSS, des cookies, des images, parfois des iframes. Et malheureusement, certains de ces trucs viennent de domaines qui n’existent plus. Vous ne vous en rendez pas compte et votre navigateur non plus. Mais Dead Domain Discovery DNS le sait, lui. Et il va vous le dire.

Dead Domain Discovery DNS , c’est un outil créé par Lauritz Holtmann , un chercheur en sécurité allemand et c’est un DNS forwarder UDP super léger codé en Python qui écoute sur le port 53 de votre ordinateur et note tous les domaines qui ne répondent plus. Ce n’est donc pas un scanner actif mais plutôt un observateur passif qui regarde passer les requêtes DNS et repère les morts.

Le: 10 11 2025 à 08:57 korben.info Auteur: Korben

Vous naviguez sur le web en mode pépouze comme tous les jours… Et comme tous les jours, votre navigateur charge des scripts, des CSS, des cookies, des images, parfois des iframes. Et malheureusement, certains de ces trucs viennent de domaines qui n’existent plus. Vous ne vous en rendez pas compte et votre navigateur non plus. Mais Dead Domain Discovery DNS le sait, lui. Et il va vous le dire.

Dead Domain Discovery DNS , c’est un outil créé par Lauritz Holtmann , un chercheur en sécurité allemand et c’est un DNS forwarder UDP super léger codé en Python qui écoute sur le port 53 de votre ordinateur et note tous les domaines qui ne répondent plus. Ce n’est donc pas un scanner actif mais plutôt un observateur passif qui regarde passer les requêtes DNS et repère les morts.

Le: 10 11 2025 à 07:42 Framablog Auteur: Khrys

  Comme chaque lundi, un coup d’œil dans le rétroviseur pour découvrir les informations que vous avez peut-être ratées la semaine dernière. Tous les liens listés ci-dessous sont a priori accessibles librement. Si ce n’est pas le cas, pensez à … Lire la suite­­

Le: 10 11 2025 à 06:50 Journal du Net Développeurs Auteur: Hugo Franceschi

Des millions de propriétaires vont payer plus de taxes sur les loyers qu'ils encaissent. Même les loueurs qui passent par Airbnb, Booking ou Abritel devront mettre la main à la poche.

Le: 10 11 2025 à 06:45 Journal du Net Développeurs Auteur: La Rédaction

En seulement quelques clics, ce site offre une mine d'informations sur l'origine de votre prénom et son histoire.

Le: 10 11 2025 à 06:00 FrenchWeb.fr Auteur: LA REDACTION DE FRENCHWEB.FR

Définition L’earn-out est un mécanisme de complément de prix permettant d’ajuster la valeur finale d’une entreprise après sa cession, en fonction de sa performance future. Concrètement, le seller perçoit une partie du prix au closing, puis un ou plusieurs paiements additionnels si l’entreprise atteint les objectifs fixés (par ex. : EBITDA, revenue target, customer retention). …

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Le: 10 11 2025 à 06:00 FrenchWeb.fr Auteur: LA REDACTION DE FW.MEDIA

Définition L’earn-out est un mécanisme de complément de prix permettant d’ajuster la valeur finale d’une entreprise après sa cession, en fonction de sa performance future. Concrètement, le seller perçoit une partie du prix au closing, puis un ou plusieurs paiements additionnels si l’entreprise atteint les objectifs fixés (par ex. : EBITDA, revenue target, customer retention). …

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