Le ministère de l'Intérieur néerlandais a subventionné l'un des contributeurs majeurs du framework open source en Java facilitant le développement de services web, Apache CXF. Pourquoi ?
Pour gérer des infrastructures IT performantes connaitre le contexte d'utilisation est tout aussi important que la qualité des applications. Par analogie, une voiture parfaitement préparée ne pourra pas atteindre le maximum de ses possibilités dans un embouteillage ou sous une pluie battante.
La solution de VoIP multi-plates-formes open source sort en version 1.4.4. Découvrez les nouveautés.
Aujourd'hui, il est nécessaire de se préoccuper fortement du développement et de la gouvernance de l'Internet des objets, en s'appuyant sur les atouts de notre pays dans ce domaine : culture scientifique de haut niveau, ingénieurs de grande qualité et dynamisme de nos entrepreneurs.
Pour quelles raisons continuent-ils à revenir régulièrement sur votre site, alors qu’il y a une multitude de concurrents qui offrent des produits ou services similaires aux vôtres et parfois même moins chers ?
A l’approche de la Coupe du monde de foot au Brésil commencez-vous à sentir l’euphorie monter ? Ou est-ce que cela vous indiffère complètement?
La demande en matière d’amélioration de la conformité, que ce soit pour des raisons réglementaires, professionnelles, juridiques, ou même de sécurité, signifie clairement que les organisations doivent réfléchir de façon beaucoup plus stratégique à ce qu'elles paient pour conserver leurs données.
Une rumeur a récemment enflammé la toile : le possible rachat de Twitch par le géant Google. Cependant, quel intérêt la firme de Mountain View pourrait-elle trouver dans cette opération ?
Google reste en tête du classement général des clouds CloudScreener / Cedexis pour le JDN. Ikoula est en embuscade dans la catégorie des performances.
Dans cette nouvelle version, la solution de réseau social propose un certain nombre d'améliorations. Découvrez-les.
L'événement dédié à Xen, l'hyperviseur gérant la paravirtualisation, se tiendra le 15 septembre 2014 à New York.
Il a été établi par de savants médecins que le mode de vie influait sur la santé et sur les risques cardiovasculaires encourus. Pour faire le point et savoir si on constitue une personne à risque, la Fédération française de cardiologie a eu la bonne idée de mettre en ligne un outil pour faire le […]
Même si pour la plupart des lycéens et étudiants les mathématiques sont un passage obligé pour progresser dans leurs études, il faut bien reconnaître qu’il s’agit rarement d’une matière qui soulève un enthousiasme débordant autre que celui de passer le barrage d’une sélection. C’est vrai aussi que dans la vie réelle, Pythagore et Thalès n’apportent […]
The Wayback Machine, la section du site Internet Archive qui a pour mission de conserver ad-vitam eternam une copie des tous les sites web du monde, dispose d'une fonctionnalité très sympa. Sur la page d'accueil, il est possible d'entrer n'importe quelle URL et la page visée sera alors sauvegardée dans les archives de la fondation. […]
Cet article merveilleux et sans aucun égal intitulé : Archivez vous-même un site dans The Wayback Machine ; a été publié sur Korben, le seul site qui t'aime plus fort que tes parents.
Les États-Unis ont une dent contre les Chinois. D'abord, ils lancent des avis de recherche pour arrêter 5 militaires chinois accusés d'avoir piraté 6 sociétés américaines (usines, production d'énergie, métallurgie...etc.) alors qu'on sait grâce à Snowden que la NSA fait 10 fois pire. Par exemple, La NSA a piraté la société Huawei et leur ont […]
Cet article merveilleux et sans aucun égal intitulé : Halte aux Chinois ! ; a été publié sur Korben, le seul site qui t'aime plus fort que tes parents.
The iOS Human Interface Guidelines is a free ebook from Apple that gives great insight into how Apple creates such a great user experience. It’s nearly 230 pages filled with info on Apple’s design principles and guidelines.
A great way to catch the attention of a visitor to your website is a “splash screen” or an “intro screen”. However, making a successful one is very difficult for one simple reason: splash screens easily irritate users. Splash screens can work if they appear quickly and are easily dismissible. They can be visually striking, and beautiful, and […]
Portfolio of Steve Ladanyi // Montreal Art Director / Web Designer
Le magasin en ligne Google Play Store est initialement destiné aux personnes utilisant le système d’exploitation Android. D’autres personnes peuvent toutefois l’utiliser notamment pour acheter des films, musiques ou des […]
L'article Google Play Store désormais en responsive design est la propriété de Anne sur WebLife - Actualités internet, high-tech & startups.
Après le jailbreak tethered d’iOS 7.1.1 à destination de l’iPhone 4, le chercheur en sécurité allemand Stefan Essel connu sous le pseudonyme i0n1c, lève le voile sur l’outil Cyberelevat0r. Ce dernier […]
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A versatile, auto detecting content, lightbox/modal window for use with images, embedded content (YouTube, Vimeo, Daily Motion and KickStarter), iframes and inline html.
User dashboards are a difficult interface to design, there’s loads of information that needs to be neatly presented to bring the user up to speed, but you don’t want to slap them in the face with tons of data. Today’s showcase features 25 nicely designed apps that do a great job of presenting information neatly […]
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Morphing Title is a JavaScript application which allows to dynamically create animated title from text-format (JSON) for any content. Unlimited number of titles (including multiline titles) bound to any DOM […]
FlexSelect is a jQuery plugin that turns select boxes into flex-matching incremental-finding controls. Flex matching a few keystrokes against longer strings is a boon in productivity for typists. Applications like […]
On s’en souvient, Google avait remporté la mise le mois dernier en devançant Facebook concernant le rachat de Titan Aerospace. Le géant de Mountain View ne compte visiblement pas s’arrêter […]
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Cette tendance qui court depuis quelques mois, cette volonté de casser les blocs pour se démarquer donne naissance à des interfaces plutôt créatives… Les blocs : l’essence même de l’HTML qui permet d’englober les différents éléments d’une page web. Grâce … Continuer la lecture
Les lecteurs de ce blog savent que Framasoft s’est engagé à se libérer par étapes des outils de Google : Framasoft a déjà dit bye-bye à Gmail, s’est libéré des GoogleGroups, de Google analytics et de la publicité, des polices de caractère Google… Tout cela demande à la fois de la détermination, un travail technique conséquent et des logiciels ou services de substitution fiables. Ce n’est pas forcément à la portée du simple utilisateur. Que peut-il commencer par faire pour se libérer de l’emprise de Google ? L’article qui suit est un appel à l’action. Une action ambitieuse : se libérer partout de Google. Mais une action qui peut commencer par ce qui est à notre portée : choisir d’autres moteurs de recherche.
Est-il possible de faire vaciller la toute-puissance de Google en remplaçant Google par un moteur de recherche qui ne soit pas notoirement en ligne directe avec la NSA ? Ce n’est pas irréaliste car désormais un très grand nombre de gens sont devenus conscients grâce à Snowden tant de la surveillance étatique de masse que du viol commercial de nos données privées en ligne.
Texte original en diffusion virale sur ce pastebin
Traduction Framalang simon, r0u, Lam’, goofy
Il s’est écoulé presque un an depuis les révélations des documents de Snowden. C’est à ce moment que de nombreuses personnes – moi compris – ont pris conscience de la surveillance omniprésente qui nous environne. Pas uniquement l’espionnage de la part des gouvernements, mais aussi la collecte de données par les entreprises. Et d’hier à aujourd’hui, les progrès pour repousser cet environnement oppressant ont été décevants.
Globalement, nous savons ce qu’il faudrait faire. En premier lieu, nous devons exercer une pression permanente et importante sur nos gouvernements respectifs pour obtenir une réforme significative. Les politiciens doivent savoir qu’ils ne pourront pas compter sur le soutien des peuples si ceux-ci ne peuvent obtenir le respect de leurs droits fondamentaux.
Il est aussi évident que de nombreux changements technologiques et commerciaux doivent avoir lieu, comme l’utilisation accrue du chiffrement (en particulier le chiffrement coté client), et une adoption bien plus étendue du logiciel libre (voir cet article de fsf.org).
Il ne fait aucun doute que nous devons bien davantage décentraliser les technologies de l’information. Ce problème est bien expliqué dans cet article du New Yorker :
« l’État sécuritaire a tendance à aimer les monopoles. Un monopole qui s’appuie sur la coopération augmente et étend le pouvoir de l’État, comme une prothèse technologique (l’Allemagne en offre des exemples plus extrêmes encore que les États-Unis). En règle générale, quand une ou plusieurs sociétés dominent tout un pan de l’industrie de l’information, on peut s’attendre à ce que les agences de renseignements exigent leur coopération et leur partenariat. Au fil du temps, la firme devient un exécuteur bien récompensé de la volonté de l’État. Si l’Histoire peut enseigner quelque chose, c’est que plus des entreprises comme Google ou Facebook resteront dominantes sur le long terme, plus il est probable qu’elles deviendront des partenaires au service d’agences de renseignement des États-Unis et d’autre gouvernements »
Il est évident que continuer à encourager les géants technologiques comme Google, Facebook, Microsoft et les autres ne peut qu’amener à l’élimination progressive de notre vie privée, et donc de notre liberté. Fondamentalement, on peut considérer que toute entreprise suffisamment grande agira dans ses propres intérêts, souvent au détriment de la population. Et dans cette optique, les détails de nos vies privée sont devenus leur nouvel Eldorado. L’information est le pouvoir. Elle est lucrative. C’est la raison pour laquelle les géants technologiques (et bien d’autres sociétés) orientent une part toujours plus importante de leur modèle économique vers la surveillance.
Mais ils n’appellent pas cela de la surveillance. Ils appellent cela le Big data, et ils en chantent les louanges comme si c’était le nouvel évangile. Ils peuvent passer des heures à expliquer comment le Big Data bénéficiera à tous, rendra les choses plus efficaces, évitera le gaspillage, etc. Mais bien entendu, là-dessus nous pouvons leur faire confiance, s’ils utilisent le Big Data c’est d’abord pour nous manipuler, de façon à dynamiser leur chiffre d’affaires.
« Les consommateurs traversent les événements de la vie, souvent sans faire attention, ou très peu, aux changements de leurs habitudes d’achats. Mais les commerçants, eux, s’en rendent compte et y sont très attentifs. À ces moments particuliers, note Andreasen. « Les consommateurs sont vulnérables à la pression du marketing. En d’autres termes, une pub qui intervient au bon moment, envoyée après un récent divorce ou une acquisition immobilière, peut changer les habitudes d’achats de quelqu’un pendant des années. » (Source : cet article du New York Times).
Et Big Data ne signifie pas seulement manipulation. Cela signifie aussi discrimination et prédation.
« Dans un cas particulièrement grave, un télévendeur s’est servi sur le compte en banque d’un vétéran de l’armée de 92 ans après avoir reçu des informations du courtier de données InfoUSA, qui propose des listes comme “vieux mais gentil”. L’objectif était d’atteindre des personnes décrites comme “crédules… qui veulent croire que la chance peut tourner”. » (Source : article de businessinsider).
Pour le formuler en employant les termes du mouvement Occupy, « le Big Data est un outil de plus à la disposition des 1 % pour consolider leur pouvoir, et garder plus efficacement les 99 % sous contrôle. »
Sans contre-pouvoir pour s’opposer à ces développements, les 1 % ne peuvent que continuer. Quand on voit la façon dont les gouvernements ont été enivrés par le pouvoir que leur donne la surveillance – essentiellement rendue possible par le Big Data – il est évident qu’ils ne vont pas intervenir ou véritablement régler ce problème. Nous devons le faire par nous-mêmes.
Il faut s’opposer fermement au Big Data, tout autant qu’à la surveillance étatique. Parce qu’en définitive, Big Data signifie Grand Contrôle et Grand Pouvoir pour celui qui peut collecter le plus d’informations sur n’importe qui.
« Tant que nous ne sommes pas tous connectés toute la journée, nous sommes implicitement hors ligne. Ne serait-ce pas merveilleux si nous pouvions récolter des données vitales géolocalisées et les utiliser pour personnaliser l’expérience hors ligne comme le font maintenant les sociétés pour notre expérience en ligne ? “Personnaliser votre expérience vitale” est une façon moins brutale de dire en réalité « encore plus de contrôle de vos vies » (Source : article de gigaom.com)
Nous devons susciter une migration en masse vers les alternatives proposées par les logiciels libres, pour diffuser une meilleure maîtrise des ordinateurs, et une connaissance plus approfondie des techniques utilisées pour tout ce qui concerne les données.
Mais il s’agit d’un défi de taille. Amener une personne à changer ne serait-ce qu’une petite habitude informatique est comme lui arracher une dent. Il faut lui donner de bonnes raisons bien tangibles. Elles doivent toucher la vie quotidienne du foyer, et les changements doivent être faits un à la fois. Pour ceux d’entre nous qui ont le plus d’expérience et de connaissances en informatique, il n’est pas raisonnable d’espérer que quiconque va changer si on lui dit carrément « Eh, c’est pas du tout comme ça qu’il faut utiliser ton ordinateur. Arrête tout, et fais plutôt comme ceci… »
Voilà l’idée : les gens n’ont pas besoin de changer toutes leurs habitudes informatiques d’un seul coup pour faire la différence. Amener tout le monde à se défaire d’un coup de mauvaises habitudes est un objectif irréaliste, mais on peut cibler exactement un changement à la fois et s’y mettre vraiment. Chaque changement individuel peut sembler minuscule, voire insignifiant, en regard de l’objectif qui est de sécuriser complètement les données personnelles de chacun, mais cela peut envoyer une onde de choc qui va se propager dans le système tout entier.
Et nous devrions commencer par ce qui est à portée de main. Nous devrions arrêter d’utiliser les moteurs de recherche des géants technologiques et faire tout notre possible pour que tout le monde en fasse autant.
Soyons clair, cela veut dire : finies les recherches sur Google, finies les recherches sur Bing, et finies les recherches sur Yahoo. Voilà la règle d’or : si l’entreprise figure sur les diaporamas du système Prism de la NSA, n’utilisez pas son moteur de recherche.
Pour les remplacer, utilisez plutôt une des solutions alternatives qui tendent à être recommandées. Que ce soit Ixquick, DuckDuckGo, StartPage, Disconnect, MetaGer, ou pour les plus déterminés, Seeks ou YaCy.
Tout le monde peut basculer vers un moteur de recherche différent. Si vous pouvez aller sur google.com, vous pouvez aller sur duckduckgo.com (ou l’un des autres). Cela peut donner une impulsion nouvelle, comme une façon de dire aux autres « regardez, vous pouvez faire la différence. Vous pouvez rendre le monde meilleur. Tout ce que vous avez à faire c’est de changer votre moteur de recherche. Facile, non ? »
Voici un aperçu du volume des recherches effectuées en février dernier sur les principaux moteurs (en supposant que je lise le tableau correctement dans cet article de searchengineland.com) :
Google : 11,941 milliards
Microsoft : 3,257 milliards
Yahoo : 1,822 milliards
Ask : 477 millions
AOL : 235 millions
11,941 milliards de recherches chaque mois… Quand l’affaire Prism a commencé à éclater, les recherches sur DuckDuckGo sont passées de 1,7 million par jour à 3 millions en moins de deux semaines (voir cet article du Guardian), et ce n’était qu’une simple réaction non concertée des gens. Imaginez ce que ce serait avec un effort coordonné, dédié au seul but de réduire le nombre des recherches effectuées sur les moteurs des géants technologiques. Nous pouvons amener les recherches mensuelles sur Google à diminuer de presque 12 milliards à 6 milliards, 3 milliards, et ainsi de suite jusqu’à ce que leur part ressemble un peu plus à celle d’AOL.
Voici donc notre objectif final :
Bien que les recherches ne soient pas le seul moyen pour ces entreprises de faire de l’argent, cela les impactera tout de même durement. Elles constituent la principale source de leurs revenus publicitaires. Des marchés entiers se sont constitués autour des optimisations des moteurs de recherches. Si le nombre de vues et de clics sur les moteurs des géants s’effondre, il en sera de même pour leurs profits. Cela attirera l’attention. Un maximum.
C’est à notre portée, mais il nous faut faire passer le mot aussi loin et aussi largement que possible. Copiez-collez ce billet sur tous les sites que vous fréquentez. Partagez-le. Utilisez vos propres mots pour exposer vos convictions avec passion. Faites des infographies accrocheuses, ou d’autres œuvres graphiques, sur ce mouvement et postez-les sur des sites comme Reddit, Imgur, Tumblr, etc. Traduisez-le, faites-le connaître.
Remplacez votre moteur de recherche par défaut par l’un de ceux qui sont listés ci-dessus, sur tous les navigateurs de tous les appareils que vous utilisez. Incitez vos amis et votre famille à faire de même. Cela pourrait être la partie la plus difficile, mais ne vous découragez pas. Faites-le avec humour. Donnez leur des raisons de vouloir faire ce changement. Négociez, si nécessaire ; dites-leur qu’en échange vous préparez le dîner.
Si vous gérez un site web, envisagez d’ajouter quelque chose à ce sujet, pour diffuser encore plus le message.
Si vous utilisez encore un grand réseau social comme Twitter ou Facebook, ce qui est mal (des alternatives existent), ralliez-vous autour d’un hashtag[1] comme, par exemple, #nongoogle, #ungoogle ou tout ce que vous voudrez. Faites-en une tendance.
Dans le même ordre d’idée, il faut aussi parler du langage. Le saint Graal de la publicité est de faire rentrer dans l’usage le nom de l’entreprise pour faire référence au produit. Ainsi par exemple nous appelons les scratch des Velcro. Dans le cas des recherches en ligne, dire à quelqu’un de « googler » quelque chose c’est soutenir leur produit. Cela fait de Google la norme et barre la route qui mène à la fin de leur domination sur la recherche en ligne. Ce que nous devons faire, c’est désigner cette action par son nom : une recherche, ou carrément utiliser les termes « nongoogle » ou « ungoogle » pour expliciter notre intention de faire progresser ce mouvement.
Si nous pouvons y parvenir, ce sera une énorme victoire concrète dans la lutte pour nos droits à la vie privée et les libertés civiles. Alors s’il vous plaît, passez le mot et… passez à l’action ! Il est temps de commencer à faire des recherches libérées de Google.
Je publie ceci sous licence CC0 1.0
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[1] (GoofyNote) « mot-dièse » d’après le JO du 23/01/13 ahaha mais oui bien sûr, vous trouvez ça ridicule. Demandez-vous toutefois si hashtag (mot à mot : dièse-étiquette) n’est pas tout aussi risible dans la langue de Britney Spears.