C’est samedi, donc je vous propos un billet « récréation » sur un hypothétique modèle de monétisation très simple. J’ai arrêté le système Adsense depuis 2009, mais je me suis amusé à calculer un système, si jamais je voulais m’y remettre aujourd’hui. Ne prenez pas le modèle suivant comme une recette miracle. C’est juste un calcul à [...]
Les solutions logicielles de récupération de données existent par dizaine de nos jours. Il est facile de trouver un bon logiciel qui permettent de restaurer des fichiers supprimés ou des fichiers abîmés. Ce que l’on sait moins, c’est qu’il existe également des services pour récupérer des données perdues physiquement, qui agissent directement sur les supports de sauvegarde.
Cet article original est publié sur Websourcing.fr.
Toute reproduction, même partielle, est interdite sans l’accord explicite de son auteur sauf citation de quelques lignes accompagnées d’un lien (permalien : http://blog.websourcing.fr/ontheweb/recuperer-donnees-perdues/) vers ce billet.
Récupérer des données perdues
Je vous présentais il y a quelques temps le nouveau Deezer ou encore le nouveau Grooveshark… Aujourd’hui, laissons place au nouveau Spotify qui devrait en séduire plus d’un. Alors que la firme suédoise annonçait il y a peu la version web de Spotify pour Janvier 2013 – avec une beta intelligente et ergonomique - jeudi, lors d’une conférence diffusée
par Richard Stallman
L’un des principaux avantages du logiciel libre est que la communauté protège les utilisateurs des logiciels malveillants. Aujourd’hui Ubuntu GNU/Linux est devenu un contre-exemple. Que devons-nous faire ?
Le logiciel privateur est associé à la malveillance envers l’utilisateur : code de surveillance, menottes numériques (gestion numérique des restrictions, ou DRM) destinées à imposer des limites aux utilisateurs, et portes dérobées qui peuvent faire des choses déplaisantes sous contrôle à distance. Les programmes qui effectuent l’une quelconque de ces opérations sont des logiciels malveillants et devraient être considérés comme tels. Les exemples les plus communs sont Windows, les iTrucs, ou encore le « Kindle » d’Amazon (connu pour son autodafé de livres virtualisés1), qui font ces trois choses ; Macintosh et la Playstation III qui imposent des menottes numériques ; la plupart des téléphones portables, qui espionnent et possèdent des portes dérobées ; Adobe Flash Player, qui espionne et fait respecter les menottes numériques ; ainsi que de nombreuses applications iTrucs ou Android, qui intègrent une ou plusieurs de ces pratiques néfastes.
Le logiciel libre donne aux utilisateurs la possibilité de se protéger contre les comportements malveillants des logiciels. Encore mieux, la communauté protège en général tout le monde et la majorité des utilisateurs n’a pas à bouger le petit doigt. Voici comment.
De temps à autre, des utilisateurs sachant programmer trouvent du code
malveillant dans un programme libre. Généralement, ce qu’ils font ensuite
c’est de publier une version corrigée du programme : les quatre libertés
(voir http://www.gnu.org/philosophy/
Mais pas toujours. Ubuntu, distribution influente et largement utilisée, a installé du code de surveillance. Lorsque l’utilisateur effectue une recherche dans ses propres fichiers en utilisant le système de recherche d’Ubuntu desktop, Ubuntu envoie cette recherche à l’un des serveurs de Canonical (Canonical étant la société qui développe Ubuntu).
C’est exactement comme le premier cas de surveillance dont j’aie appris l’existence, dans Windows. Mon vieil ami Fravia m’avait expliqué qu’un jour, alors qu’il recherchait une phrase dans ses fichiers avec Windows, un paquet – détecté par son pare-feu – avait été émis vers un serveur. À compter de cet exemple, je suis devenu attentif et n’ai pas oublié la propension à la malveillance qu’ont les logiciels privateurs « réputés ». Ce n’est peut-être pas par hasard qu’Ubuntu émet la même information.
Ubuntu se sert de ces informations sur leurs recherches pour afficher aux
utilisateurs des publicités pour des produits vendus par Amazon. Cette
société cause beaucoup de tort (voir http://stallman.org/amazon.
Certains feront sûrement des versions modifiées d’Ubuntu dépourvues de cette fonctionnalité espionne. De fait, plusieurs distributions GNU/Linux sont des versions modifiées d’Ubuntu. Lorsqu’elles se mettront à niveau avec la dernière version d’Ubuntu, je m’attends à ce que cette fonctionnalité soit enlevée. Canonical s’y attend également, sans aucun doute.
La plupart des développeurs de logiciel libre laisseraient tomber un tel projet, étant donné la perspective d’une migration en masse vers la version corrigée de quelqu’un d’autre. Mais Canonical n’a pas abandonné le logiciel espion d’Ubuntu. Peut-être Canonical pense-t-il que le nom « Ubuntu » a assez de poids et d’influence pour éviter les conséquences habituelles et s’en tirer avec cette surveillance.
Canonical dit que cette fonctionnalité permet de faire des recherches sur Internet « autrement ». Selon les détails de la méthode, cela pourrait, ou non, aggraver problème, mais cela ne l’atténuerait pas.
Ubuntu permet aux utilisateurs de désactiver la surveillance. Évidemment, Canonical pense que beaucoup d’utilisateurs d’Ubuntu vont laisser cette fonctionnalité à son état par défaut, c’est-à-dire active. Et c’est ce que beaucoup font probablement, car il ne leur vient pas à l’esprit d’essayer d’y changer quoi que ce soit. Ainsi, l’existence de cette option ne rend pas pour autant la fonctionnalité de surveillance acceptable.
Même si elle était désactivée par défaut, cette fonctionnalité resterait dangereuse : « activer une fois pour toutes » une pratique risquée, dont le risque varie selon les spécificités du système, invite au laisser-faire. Pour protéger la vie privée de l’utilisateur, les systèmes doivent simplifier l’usage de la prudence : quand un programme de recherche locale a une option de recherche sur le réseau, ce devrait être à l’utilisateur de choisir la recherche sur le réseau explicitement à chaque fois. C’est simple : il suffit de boutons séparés pour la recherche sur le réseau ou la recherche locale, comme c’était le cas dans les anciennes versions d’Ubuntu. Une fonctionnalité de recherche sur le réseau devrait aussi informer l’utilisateur clairement et concrètement sur la nature et la destination précise des données personnelles collectées, lorsqu’il utilise cette fonctionnalité.
Si une proportion suffisante des faiseurs d’opinion de la communauté voient cette question d’un point de vue uniquement personnel, s’ils désactivent la surveillance pour eux-mêmes et continuent à promouvoir Ubuntu, Canonical pourrait s’en tirer. Ce serait une grande perte pour la communauté du logiciel libre.
Nous, qui présentons le logiciel libre comme une défense contre les logiciels malveillants, n’affirmons pas qu’il s’agit d’une défense parfaite. Il n’existe pas de défense parfaite. Nous ne disons pas que la communauté va à coup sûr dissuader les gens d’implanter des logiciels espions. Donc, à proprement parler, ce n’est pas parce qu’il y a un logiciel malveillant dans Ubuntu que nous devons manger notre chapeau.
Mais ce qui est en jeu ici dépasse le fait de savoir si quelques-uns d’entre nous vont devoir avaler leur chapeau. La question est ici de savoir si notre communauté peut efficacement utiliser l’argument des logiciels espions privateurs. Si nous pouvons seulement dire « les logiciels libres ne vous espionnent pas, sauf si c’est Ubuntu », c’est bien moins percutant que de dire « les logiciels libres ne vous espionnent pas ».
Il nous appartient d’exprimer notre réprobation à Canonical avec suffisamment de force pour qu’il arrête cela. Canonical peut donner toutes les excuses qu’il veut, elles seront insuffisantes ; même s’il affectait tout l’argent que lui donne Amazon au développement de logiciel libre, cela pourrait difficilement contrebalancer ce que le logiciel libre a à perdre s’il cesse d’être un moyen efficace d’éviter aux utilisateurs de se faire flouer.
Si jamais vous recommandez ou redistribuez GNU/Linux, merci de retirer Ubuntu des distributions que vous recommandez ou redistribuez. Si la pratique d’installer et recommander des logiciels non libres ne vous convainc pas d’arrêter, ceci le fera. Dans vos install parties, dans vos « Journées du Libre », au FLISOL, n’installez pas et ne recommandez pas Ubuntu. À la place, dites qu’Ubuntu est mis à l’index pour espionnage.
Pendant que vous y êtes, vous pouvez aussi leur dire qu’Ubuntu contient des
programmes non libres et suggère l’installation d’autres programmes non
libres (voir
http://www.gnu.org/distros/
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Copyright © 2012 Richard Stallman
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Dernière mise à jour : $Date: 2012/12/07 17:57:39 $
Crédit photo : Christophe Ducamp (Creative Commons By)
Salut à tous les Zéros ,
Vous souhaitez réaliser un jeu-vidéo, mais vous ne savez pas par où commencer ? Eh bien bonne nouvelle, vous êtes au bon endroit. Nous allons apprendre à utiliser une librairie graphique puissante : OpenGL (version 3.1). Nous découvrirons ensemble les bases essentielles de la programmation 3D qui pourront vous servir plus tard dans un projet de jeu.
Sachez qu'avant d'aller plus loin, il vous faut un PC soit sous Windows soit sous une distribution UNIX/Linux. Pour les utilisateurs de Mac, c'est un peu spécial, mais pour continuer il vous faudra au moins avoir le système d'exploitation OS X Lion (10.7) d'installé. Si vous possédez un de ces trois OS, il vous faudra aussi une carte graphique compatible avec l'API OpenGL 3.1. Les plus anciennes cartes compatibles sont les GeForce de la série 8000 chez NVidia et les Radeon HD chez ATI. Si vous possédez une carte inférieure à celles-ci, vous pouvez toujours suivre le tutoriel de Kayl sur OpenGL 2.0 ici :
Sur les blogs cette semaine : extensions pour Firefox, emplacement d'installation par défaut sur Windows 8, encrypter fichiers et dossiers, déposer les règlements de jeux-concours...
Un mode d'emploi complet pour se lancer et utiliser Twitter : découverte, inscription, publication, trouver des tweets, gestion des abonnés, mode privé, applications tierces...
Every week we feature a set of comics created exclusively for WDD. The content revolves around web design, blogging and funny situations that we encounter in our daily lives as designers. These great cartoons are created by Jerry King, an award-winning cartoonist who’s one of the most published, prolific and versatile cartoonists in the world [...]
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