Il semblerait qu'il faut utiliser directement l'option lastUpdate et
non pubDate de cette manière:
$array['entries'][] = array(
'title' => $article->archivetitre,
'charset' => 'utf-8',
'lastUpdate' => strtotime($article->archivedat e);
'link' => $lien, // Le lien vers l'article, ici dans
Add sharing to your website with AddThis's industry leading share button, sharing tools, plugins, and extensions. Learn with AddThis sharing analytics.
Il semblerait qu'il faut utiliser directement l'option lastUpdate et non pubDate de cette manière: $array['entries'][] = array( 'title' => $article->archivetitre, 'charset' => 'utf-8', 'lastUpdate' => strtotime($article->archivedate); 'link' => $lien, // Le lien vers l'article, ici dans l'action "
Un Special Event Apple dédié à l’éducation : l’événement est assez rare pour être souligné. Et comme pour chaque Special Event, tout le monde était très attentif à ce qui allait être annoncé par Apple même si l’engouement a été moindre que pour les dernières annonces concernant l’iPhone ou l’iPad.
La « timidité » des pouvoirs publics vis-à-vis du logiciel libre est quelque chose qui en 2012 défie le bon sens.
Comme d’habitude avec Richard Stallman[1] c’est du sans concession mais je me prends à rêver que tous les candidats aux futures élections approuvent ces mesures et s’engagent en signant en bas de la page…
Au delà de ce crucial sujet de fond, ce billet a deux autres intentions. Rappeler l’existence du site Gnu.org qui accueille entre autres les écrits de Richard Stallman et de la Free Software Foundation et qui réalise un gros travail de traduction. Appeler à participer à la campagne de soutien dont il ne manque plus grand chose pour atteindre l’objectif fixé.
Richard Stallman - GNU.org - version du 06 janvier 2012
Licence Creative Commons By-Nd
Cet article suggère des mesures pour une politique forte et résolue destinée à promouvoir le logiciel libre au sein de l’État, et à conduire le pays vers la liberté informatique.
La mission de l’État est d’organiser la société avec pour objectif la liberté et le bien-être du peuple. Un aspect de cette mission, dans le domaine informatique, est d’encourager les utilisateurs à adopter le logiciel libre.
L’État a besoin d’exiger le logiciel libre dans sa propre informatique pour garantir sa souveraineté dans ce domaine (c’est-à-dire le contrôle par l’État de son informatique). Les utilisateurs ont un droit légitime au contrôle de leur informatique, mais l’État est responsable envers les citoyens du maintien de son contrôle sur les travaux informatiques qu’il effectue pour eux. La plupart des activités de l’État se font actuellement par ce moyen, et son contrôle de ces activités dépend donc de son contrôle de son informatique. Lorsqu’il s’agit d’une agence dont la mission est cruciale, perdre ce contrôle sape la sécurité nationale.
La migration des organismes étatiques vers le logiciel libre peut fournir des bénéfices supplémentaires qui sont d’induire des économies budgétaires et de dynamiser l’industrie locale de support de logiciel.
Dans ce texte, « organismes étatiques » se réfère à tous les niveaux de gouvernement, et signifie les organismes publics y compris les écoles, les partenariats public-privé, les organismes en grande partie financés par l’État, et les sociétés « privées » contrôlées par l’État ou auxquelles l’État a attribué des privilèges ou des missions particulières.
Le domaine politique le plus important concerne l’éducation, dans la mesure où celle-ci détermine l’avenir d’une nation :
Sont également cruciales les politiques publiques qui ont des conséquences sur le type de logiciel utilisé par les particuliers et par les organisations :
Plusieurs politiques affectent la souveraineté informatique de l’État. Les organes étatiques doivent exercer le contrôle de leur informatique, et ne pas céder celui-ci aux mains d’entités privées. Ces points s’appliquent à tous leurs ordinateurs, y compris les smartphones.
La souveraineté et la sécurité informatiques d’un État supposent le contrôle de l’État sur les ordinateurs effectuant des tâches de son ressort. Cela exige d’éviter le logiciel en tant que service (SaaS), à moins qu’il ne soit géré par une agence de l’État. (Cependant, pour respecter la séparation des pouvoirs, les travaux informatiques des services relevant respectivement de l’exécutif, du législatif et du judiciaire ne doivent pas être confiés à une agence relevant d’un autre pouvoir.) Plus généralement, cela exige d’éviter toute pratique qui diminuerait le contrôle exercé par l’État sur son informatique.
Une autre politique concerne le développement de logiciels libres et non libres :
Un tel train de mesures doit permettre à l’État de recouvrer le contrôle et la souveraineté de son informatique, ainsi que d’amener les citoyens, les entreprises et les organisations du pays à prendre le contrôle de leur informatique.
[1] Crédit photo : Christian Payne (Creative Commons By-Nc-Sa)
La nouvelle est tombée hier soir : le représentant derrière le projet de loi du SOPA (Stop Online Piracy Act), Lamar Smith, a annoncé vouloir le mettre de côté jusqu’à ce qu’une approche plus appropriée soit trouvée.
Ce tutoriel vise à alléger au maximum vos tables SQL en choisissant les bons types et en utilisant à bon escient les attributs et autres options.