Les actualités du Mardi 25 septembre 2012 dans les métiers du web - Marmits.com - Reims

Le: 25 09 2012 à 23:35 CreativeJuiz blog Auteur: Geoffrey

Les licences de « libre diffusion », plus particulièrement les licences Creative Commons sont connues comme alternatives légères au Copyright. Ce dernier n’a d’ailleurs pas d’existence légale en France (pour ne nous intéresser qu’à notre petit pays). La CC (Creative Commons) propose plusieurs variantes mais est hélas très incomprise (parfois volontairement ) et souvent interprétée comme la [...]

Le: 25 09 2012 à 23:00 jquery4u.com Auteur: jquery4u

Impress your visitors and make your website’s navigation more intuitive! There are heaps of image thumbnail plugins out there but don’t know which one is the best? Well, with these 5 jQuery Image Thumbnail plugins, you might find one that suits you. Enjoy! 1. THUMBA A gallery jQuery plugin, that displays thumbnails as Google images. [...]

Le: 25 09 2012 à 22:02 Websourcing.fr Auteur: Lionel Roux

Le: 25 09 2012 à 21:00 Websourcing.fr Auteur: Lionel Roux

Le: 25 09 2012 à 20:24 Journal du Net Développeurs

La société de services spécialiste de MySQL dévoile deux solutions d'administration du SGBD Open Source en cluster. Objectif : faire de MySQL un produit haut de gamme, à l'heure où Oracle maintient son positionnement sur l'entrée de gamme. Actualité



Le: 25 09 2012 à 19:12 presse-citron.net Auteur: Renald-Boulestin

Après le Royaume-Uni et la Suisse en juillet dernier, c'est au tour de la France de bénéficier des Indoor Maps directement depuis l'appli Google Maps pour Android.

Le: 25 09 2012 à 18:05 WebdesignerNews Auteur: Sarita Harbour


Have you ever committed your time and energy to a project only to discover your responsibilities growing far beyond the initial requirements? “This isn’t what I signed up for,” you think to yourself. “If only I’d known what I was getting in to.” You have experienced scope creep, and whether you run into it in your personal or profession life, we all fall victim to it at one time or...

Le: 25 09 2012 à 18:03 blogs pcsoft Auteur: info@pcsoft.fr (Guillaume BAYLE)

WEBDEV permet de créer différents types de sites Web afin de répondre à tous les besoins. Ce billet détaille le principe de gestion des sessions, dans le cas des sites dynamiques. Ne sont donc pas concernés les sites statiques, ou fonctionnant en mode AWP, sans session. Par définition, un site dynamique conserve sur le serveur une "session" active qui permet de stocker toutes les informations de contexte sur les pages ouvertes, les données lues,...

Le: 25 09 2012 à 17:30 FrenchWeb.fr Auteur: Juliette Raynal

A la recherche d’une seconde vie, le réseau social Myspace vient de présenter une 4ème refonte de son service. Une vidéo publiée hier sur Vimeo donne, en effet, un aperçu de cette nouvelle mouture, dont la date de lancement reste encore inconnue. Il est toutefois possible de recevoir une invitation via l’adresse suivante pour tester la nouvelle version.   En attendant, [...]


Le: 25 09 2012 à 16:51 korben.info Auteur: Korben

Non, je ne trollerai pas sur Maps dans iOS 6. Noooooooon et Dieu sait que j'en ai envie. Mais on en a parlé dans Appload et surtout il y a ce Tumblr qui résume bien les choses. Non, je vais plutôt la jouer intello (pour une fois ^^) en vous montrant ce petit reportage Arte [...]

Le: 25 09 2012 à 16:30 Websourcing.fr Auteur: Lionel Roux

Le: 25 09 2012 à 16:18 FrenchWeb.fr Auteur: Juliette Raynal

Après les chaussettes, les chaussures ? Pas exactement… Le site Archiduchesse, spécialisé dans la vente en ligne de chaussettes made in France, ne se lance pas dans le vente de tennis, « mais proposera dès lundi prochain une édition limitée de 100 modèles, en partenariat avec la start-up Faguo » explique Baptise Gallet. Près de quarante modèles seront [...]


Le: 25 09 2012 à 15:58 FrenchWeb.fr Auteur: Iris Maignan

Chaque année, SNCF doit recruter 1000 ingénieurs et cadres supplémentaires. C’est une mission ambitieuse quand on connaît la pénurie de jeunes ingénieurs en France et y compris en Europe.La SNCF a fait appel à l’agence TBWA pour imaginer une nouvelle campagne de communication et de recrutement dédiée aux jeunes ingénieurs. L’agence a donc mis en place le [...]


Le: 25 09 2012 à 15:47 powerpress.fr Auteur: admin

A l’heure de la rentrée pour des millions d’étudiants et de lycéens, les parents recherchent les meilleurs plans pour réaliser des économies substantielles sur certains foyers de dépenses. Parmi ceux-ci, le forfait téléphonique prend une place importante, d’où la nécessité de souscrire à un forfait sans engagement le plus adapté aux jeunes. 2 offres complètes [...]

PowerPress - Communiqués de presse pour les métiers du web

Le: 25 09 2012 à 15:42 powerpress.fr Auteur: MagAgence

Après plusieurs semaines de travail, l’équipe MagMontres est fière d’annoncer le lancement du portail d’information www.magmontres.fr. Le portail d’information MagMontres propose aux passionnés d’horlogerie haut de gamme de suivre l’ensemble de l’actualité du secteur de l’horlogerie ainsi que celle de leurs marques préférées au sein d’un espace épuré et dans l’air du temps dédié à [...]

PowerPress - Communiqués de presse pour les métiers du web

Le: 25 09 2012 à 15:21 korben.info Auteur: Korben

Aujourd'hui c'est la journée de la faille ! Mais cette fois, en voici une VRAIE ! (lol) Et elle se trouve dans tous les modèles de téléphone Samsung suivants : Galaxy Beam, S Advance, Galaxy Ace, Galaxy S II et le petit dernier Galaxy SIII Pour vous la faire simple et rapide, Samsung a intégré [...]

Le: 25 09 2012 à 14:25 FrenchWeb.fr Auteur: Juliette Raynal

[Entertainment & Médias] 79% des CEO pensent que les tablettes auront un réel impact sur leurs activités…. Quels inventaires publicitaires online bénéficient de plus de visibilité ?…. Dans quelle mesure Facebook et Twitter génèrent du trafic sur les sites d’actualité ?…. [Entertainment & Médias] Pour 79% des CEO, les tablettes auront un réel impact sur leurs activités Le site emarketer, [...]


Le: 25 09 2012 à 13:40 presse-citron.net Auteur: Kevin

LIFX, "l'ampoule la plus intelligente du monde" comme la décrivent ses créateurs, est ambitieuse et promet de nombreuses possibilités de personnalisation pour de grandes économies, d'un simple glissement de doigts.

Le: 25 09 2012 à 13:30 Websourcing.fr Auteur: Lionel Roux

Le: 25 09 2012 à 12:51 powerpress.fr Auteur: Pricemetry

Pricemetry est le premier réseau social dédié au partage et à la surveillance de prix sur internet. Le principe est simple. Vous vous baladez sur des sites marchands, vous collectionnez les produits qui vous intéressent. Pourquoi collectionner des articles?  Nous vous avertissons des promotions, coupons de réduction existants liés aux  produits que vous suivez. Nous vous permettons de mieux vous orienter dans vos achats en ligne. Pourquoi utiliser Pricemetry ? [...]

PowerPress - Communiqués de presse pour les métiers du web

Le: 25 09 2012 à 12:50 powerpress.fr Auteur: Guillaume

Nous en avons enfin terminé avec les actualités sur l’iPhone 5. Des semaines de rumeurs qui ont donné lieu à des buzz sur le nouveau mobile de la firme de Cupertino. Comme on a pu le voir dans l’actualité du web et plus precisément dans le milieu des accessoires, un accessoiriste français a publié des [...]

PowerPress - Communiqués de presse pour les métiers du web

Le: 25 09 2012 à 12:36 ballajack.com Auteur: Ballajack

Présentation du livre Tablettes Android - Les meilleures astuces : écran d’accueil, photos, vidéos, musique, texte, applications, contacts, calendrier, Internet... Related posts:

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Le: 25 09 2012 à 12:20 blogduwebdesign.com Auteur: Fabien Berthoux

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Le: 25 09 2012 à 12:03 FrenchWeb.fr Auteur: Juliette Raynal

Jean-David Chamboredon, président du fonds d’investissements ISAI*, a récemment publié un document présentant un véritable état des lieux de l’activité de capital risque en Europe dans le secteur du numérique. Volume de fonds injectés, portofolio, répartition géographique des investissements, données démographiques… Le document s’appuie sur un panel d’études pour mettre en avant les principales caractéristiques européennes. La [...]


Le: 25 09 2012 à 11:46 korben.info Auteur: Korben

Il paraitrait que Facebook ait rendu public des messages privés envoyés il y a un petit moment (2007, 2008...etc) dans la nouvelle timeline. Scandale ? Bug ? Faille de sécurité ? Non ! Tout simplement connerie humaine de la part des utilisateurs de Facebook et mauvaise ergonomie de la part de Facebook. (Enfin, d'après ce [...]

Le: 25 09 2012 à 11:41 Framablog Auteur: aKa

Peut-être encore moins « connu » que son historique fondateur Alexis Kauffmann ou son historique permanent Pierre-Yves Gosset, Christophe Masutti est le nouveau président de l’association Framasoft depuis le début de l’exercice 2012.

Il a néanmoins trouvé le temps pour sortir un livre issu de sa thèse : Les faiseurs de pluie, Dust Bowl, écologie et gouvernement (États-Unis, 1930-1940)

Et comme pour relier les deux, il a choisi de le publier sous la licence libre Creative Commons By-Sa.

Autant de bonnes raisons qui nous ont donné envie de partir à sa rencontre…

Les faiseurs de pluie - Couverture

Entretien avec Christophe Masutti

Bonjour Christophe, peux-tu te présenter rapidement ?

Ça va faire un peu d’auto-promotion, mais tant pis :) Donc je préside depuis janvier 2012 la belle association Framasoft, mais comme j’ai le mauvais goût de travailler pour gagner ma vie, j’occupe deux fonctions. La principale est d’être en charge des Affaires européennes aux Hôpitaux Universitaires de Strasbourg et la seconde est d’être chercheur associé au SAGE (Sociétés, acteurs, gouvernements en Europe[1]) à l’Université de Strasbourg.

Tu viens de sortir un livre possédant un fort joli titre, peux-tu nous en dire plus ?

En réalité, il s’agit d’un livre tiré de ma thèse soutenue en 2004. J’ai (enfin) pris le temps de tout récrire et de le publier. J’en avais déjà tiré pas mal d’articles dans des revues à comité de lecture, mais comme d’une part à quelques exceptions près ces articles sont désormais difficilement accessibles moins de 8 ans après leur sortie (à moins d’avoir un abonnement onéreux à des revues électroniques ou de bien chercher au fond des rayonnages des bibliothèques), et que d’autre part les aléas professionnels font que je me concentre sur d’autres thèmes plus ou moins voisins, j’ai tenu à diffuser une synthèse exhaustive de mes recherches doctorales.

Le titre est la traduction française de rainmakers, les faiseurs de pluie.

Ce terme a un double sens aux États-Unis. il fait d’abord référence à ces aventuriers qui sillonnaient les Grandes Plaines durant les périodes de sécheresse en promettant aux communautés, grâce à un dispositif fumeux (et explosif), de faire tomber la pluie moyennant quelques espèces sonnantes et trébuchantes. Ils n’étaient pas vraiment considérés comme des charlatants. On peut voir sur ce point de film The rainmaker (1956) avec Katharine Hepburn et Burt Lancaster, où un de ces personnages vient dans un village et finalement redonne espoir et courage aux habitants. L’autre sens donné à ce terme est plus moderne et a un rapport avec le monde des affaires, où le rainmaker est celui qui sait saisir les bonnes opportunités et fait des affaires en un temps record (le Golden Boy des années 1980). Là il faut se tourner vers le Rainmaker de F. F. Coppola avec Matt Damon (1997).

Ainsi, c’est avec davantage d’ironie que de méchanceté que Franklin Roosevelt fut bien souvent surnommé The rainmaker par la presse américaine, en particulier celle du Midwest, alors que s’abattait sur le pays la plus grande vague de sécheresse jamais connue qui devait causer une des plus grandes catastrophes agricole du 20e siècle, le Dust Bowl. Il s’agit de l’érosion éolienne des sols agricoles, sur fond de crise économique, qui a jeté sur les routes des milliers de migrants et rendu les sols impropres à l’agriculture. On parle ici d’une extrême pauvreté et, dans certains cas, de famine. Aujourd’hui, le Dust Bowl est en réalité un phénomène récurrent, tant aux États-Unis, où l’on parvient tant bien que mal à jugguler les effets grâce à des techniques modernes, mais aussi aujourd’hui en Chine, et dans bien d’autres pays. L’érosion des sols est un problème mondial et basé sur la même recette que celle de l’épisode américain des années 1930 : industrialisation agricole, surproduction et conception ultra-libérale de l’agriculture, sécheresse, vent (changement climatique).

Les faiseurs de pluie interviennent alors à deux niveaux : d’abord du point de vue de la décision publique, en mettant en place une agriculture planifiée et respectueuse des sols, ce sont les planificateurs, des économistes qui entouraient Roosevelt et mirent en place une politique d’expertise. Ensuite, il s’agit des acteurs de la réhabilitation agricole proprement dite, non seulement ceux qui inventèrent de nouvelles pratiques agricoles, mais aussi ceux qui appliquèrent les résultats des recherches dans le domaine : des agronomes qui se définissaient comme des écologues. En effet, l’écologie avait commencée à être enseignée sous ce terme dans les années 1910 et les spécialistes commencaient alors à être reconnus comme les véritables experts de l’environnement. Par exemple, fondé sur les principes de la théorie de la succession végétale, un grand projet de plantation de ceintures forestières (windbreaks) pour lutter contre le vent a été lancé en 1935, de la frontière canadienne jusqu’au Texas. Ce projet était censé freiner l’érosion éolienne sur la moitié du territoire américain sur plusieurs années de reforestation. Après ca, il était facile d’identifier qui étaient les faiseurs de pluie, à l’échelle gouvernementale.

Qu’est-ce qu’un écologue et en quoi la lecture de ce livre peut nous aider à mieux comprendre la problématique écologique actuelle ?

Aujourd’hui, dans le domaine de l’écologie scientifique, c’est souvent le terme « écologiste » qui est employé pour désigner le scientifique qui fait de l’écologie. C’est un dérivé de l’anglais « ecologist ». Dans cette dernière langue, il n’y a pas le double sens que l’on connaît en français, car l’écologiste (le vert, l’écolo.) c’est l’environmentaliste anglais. Un écologue est donc une appellation un peu désuète mais qui permet au moins de faire la différence en français. Ce qui ne veut pas dire, bien sûr, que l’écologie scientifique soit un sanctuaire où le politique n’entre pas. À cela s’ajoute le fait que l’écologie moderne, celle que tout le monde a entr’aperçu au collège en apprenant les cycles écologiques (manger et être mangé), date en fait des années 1940. Elle est dominée par le concept d’écosystème. Ce dernier concept est né en 1935 sous la plume du botaniste britanique Arthur Tansley, et s’est vu adapter les concepts de la thermondynamique par l’américain R. Lindeman entre 1939 et 1942.

Ce qu’il faut savoir c’est que Tansley écrivait en réaction aux conceptions américaines de l’équilibre des communautés végétales, c’est à dire les recherches de Frederic Clements sur l’analyse statistique des formations végétales et qui a formé tous les écologues que l’on croise dans le livre. Ces derniers réfléchissaient en termes d’équilibre, l’idée selon laquelle les communautés végétales se succèdent vers un état stable, final (nommé climax). Par conséquent toute activité humaine peut soit résulter sur la rupture de cet équilibre, soit favoriser un équilibre temporaire (un champ de maïs est un système en équilibre relatif). Pour Tanley (et Lindeman) au contraire, il faut réfléchir en termes de fonctions des espèces, et envisager l’éco-système d’un point de vue énergétique. Il n’y a pas d’équilibre final, ni une sorte de nature idéalisée (ce que devrait être un système) mais des équilibres, des rapports entre biomasses et quantités d’énergie qu’il faut évaluer pour comprendre les changements dans les systèmes. En d’autres termes encore, le fameux « équilibre écologique » qu’on nous sert pour justifier telle ou telle idée écologiste, est en fait une très vieille idée de l’équilibre idéalisé entre les activités humaines et l’environnement non-humain. On fait alors appel alors à une éthique, voire une morale, là où le scientifique est plutôt censé s’occuper des faits.

Dans notre histoire du Dust Bowl, on a affaire à des écologues qui n’en sont pas encore à mettre en place une « éthique environnementale ». On voit en réalité se développer une nouvelle conception des politiques environnementales, l’idée que pour mettre en place une conservation des sols agricoles ou des parcs nationaux, il faut s’en remettre à des experts. Cette politique de l’expertise, dans le gouvernement Roosevelt, est la première dans l’histoire à identifier l’écologie comme une science que l’on dote de moyens d’applications à grande échelle (comme les fermes expérimentales), mais aussi à justifier la décision publique en référence aux recherches écologiques. La crise agricole américaine des années 1930, est alors devenue une « crise écologique », qui a une dimension complexe qui structure les relations sociopolitiques, institutionnelles (mise en place de départements et services exclusivement composés d’écologues et d’ingénieurs) et scientifiques. C’est sur ce modèle tridimentionnel que s’explorent toutes les crises écologiques ou environnementales jusqu’à aujourd’hui. Il était donc important de dé-construire celle-ci :)

Ce livre est sous licence Creative Commons ? Pourquoi ce choix ?

Comme dit précédemment, ce livre est le résultat de recherches menées sur fonds publics. L’État français a subventionné pendant 3 ans mon salaire, mes déplacements, et tous les coûts liés aux recherches, à commencer par me fournir un bureau et un ordinateur. La diffusion de ces résultats devrait donc profiter en premier lieu à tout le monde et il fait partie du devoir du chercheur que de diffuser ses recherches.

Aujourd’hui, le mode de production d’écrits scientifiques est quasi-exclusivement le format électronique. Quant à la diffusion (les correspondances entre scientifiques comme envers le public) elle passe par Internet. Cela signifie que modèle qui valait il y a encore une trentaine d’année, à savoir le cycle qui va exclusivement de la production-évaluation à la publication papier est obsolète. Dans ce modèle, les maisons d’éditions effectuaient un travail salutaire : elles assuraient la distribution et la diffusion des connaissances scientifiques sur un support de première qualité, le livre papier. Elles le font toujours, bien entendu, mais le prix de cette diffusion est la cession exclusive de droit d’auteur : l’auteur de l’oeuvre cède de manière exclusive sa production scientifique à un éditeur, en échange de quoi cet éditeur assure la mise en page, l’impression et la distribution. Dans le cas des petits éditeurs, l’évaluation scientifique est assurée par un comité de lecture qui n’est que rarement payé pour cela, et il existe des éditeurs, pas forcément les moins connus, qui n’assurent qu’une évaluation légère de la qualité scientifique des ouvrages et font davantage confiance aux auteurs, comme c’est le cas par exemple lorsqu’un groupe de chercheurs inclu dans son projet la publication finale d’un ouvrage collectif, acheté en quantité pour amortir l’investissement de départ de l’éditeur.

Dans tous les cas, un contrat de cession exclusive est signé et permet l’exploitation de l’oeuvre alors même que tout le jeu des éditeurs est, comme toute entreprise, d’effectuer des bénéfices intéressants. Dans leurs stratégies, les éditeurs déploient plusieurs moyens : la rationalisation du stock d’imprimés (la décision de la réédition dépend alors des bénéfices escomptés, ce qui est le plus souvent compromis dans les publications scientifiques sauf pour les « têtes d’affiche »), l’édition des formats électroniques affublés de DRMs, la revente des formats électroniques à de plus gros éditeurs (type Elsevier) qui effectuent alors d’autres formes de bénéfices via un système d’abonnement aux institutions… Tout cela limite fortement la diffusion d’une oeuvre scientifique, surtout dans le cas des sciences humaines où l’obsolescence est loin d’être évidente après 10, 20, 30, 100 ans…

Le choix de la licence libre, pour cet ouvrage, est le même que pour d’autres revues scientifiques qui font de plus en plus ce choix : privilégier la diffusion de l’oeuvre sur sa distribution, à plus forte raison lorsque celle-ci est réalisée grâce à des fonds publics. Il n’y a aucune raison d’attendre d’avoir la permission d’un éditeur pour diffuser l’oeuvre, au moins au format électronique. Pourquoi ne pas donner le droit aux lecteurs de photocopier l’ouvrage, ou dupliquer le fichier, notamment à des fins pédagogiques ? Après tout, le livre papier n’est aujourd’hui qu’un support parmi d’autres formats de diffusion envisageables.

Et plus précisément pourquoi le choix de la licence libre By-Sa parmi le panel de licence offert par les Creative Commons ?

La licence CC-By-Sa consiste à donner au lecteur la possibilité de partager, diffuser et communiquer l’oeuvre comme bon lui semble, à condition d’attribuer la paternité de l’oeuvre à son auteur. Pour les raisons évoquées ci-dessus, cela me semble être un minimum avec, pour seul prix à payer, le rappel que le droit d’auteur est aussi un droit moral.

Par ailleurs, la clause share alike (-Sa) est intéressante dans ce contexte, bien qu’elle ne soit pas nécessaire : il s’agit d’assurer la viralité de la licence dans un monde où le plagiat est de plus en plus à l’étude. En effet, des colloques et des groupes de veille se montent un peu partout à propos du plagiait scientifique, qui ne concerne pas seulement les étudiants, loin s’en faut. Le but de cette clause, ici, est plutôt pédagogique.

Enfin la possibilité de modifier l’oeuvre a surpris certains collègues. Je pars en effet du principe qu’un livre est avant tout un projet de construction scientifique. N’importe quel chercheur pourra vous dire que, plusieurs années après une publication, il arrive parfois d’avoir le regret de ne pouvoir corriger ou améliorer certaines choses. Mais est-ce que l’auteur peut-être le seul juge de ce qu’ill faudrait améliorer? Pourquoi d’autres chercheurs ne pourraient pas eux-mêmes améliorer l’oeuvre et éventuellement soumettre leurs modifications, suggestions et commentaires à l’auteur en vue d’une version ultérieure du livre? C’est la notion d’oeuvre-projet que je défends, l’idée qu’une oeuvre est toujours améliorable et que le processus peut être collectif, à l’image (humaniste) qu’on se fait des sciences.

Quant à la question du droit d’auteur, il est inutile ici de préciser que le droit moral de l’auteur est inaliénable et que par conséquent toute modification de l’oeuvre qui porterait préjudice à l’auteur (par exemple un détournement des propos ou l’appropriation usurpée de l’oeuvre) est punie par la loi, à laquelle ne se substitue pas la licence libre.

A-t-il été compliqué de convaincre un éditeur d’adopter cette licence ?

Par curiosité, j’ai démarché exactement cinq éditeurs (c’est peu) assez connus dans le domaine et deux m’ont répondu négativement d’emblée parce que le livre n’entrait pas dans les clous de leurs collections. Les trois autres ont entammé un dialogue qui n’a finalement pas abouti à une entente. Je l’ai fait sans réelle conviction car j’avais déjà l’idée qu’aucun n’était de toute façon prêt à publier cet ouvrage pour deux raisons :

  • la raison pratique : l’ouvrage est une somme et entre dans des détails qui intéressent un lectorat qui, à la base, n’est pas très large. Ce type d’ouvrage se vend de moins en moins bien. Il y a encore 20 ans, certains éditeurs publiaient avec moins d’hésitation. Or, aujourd’hui, le rapport entre l’investissement d’un éditeur et les objectifs de ventes est primordial. Il aurait donc fallu faire des coupes franches sur les points de détails que, justement, je tenais à publier. Je ne voulais pas que l’intégrité de l’oeuvre soit sacrifiée sur l’autel de la rentabilité. De plus, si je voulais diffuser gratuitement le format électronique, l’un des éditeurs me proposait de publier directement en achetant un stock d’exemplaires suffisants pour rentrer dans ses frais (l’investissement de départ pour produire quelques 300 exemplaires). Je trouve cela non seulement anti-écologique mais le système d’impression à la demande permet d’éviter ce genre de surproduction. Quant à acheter moi-même un stock de livres pour que l’éditeur puisse rentabiliser ses propres ventes, autant aller voir moi-même l’imprimeur. Je précise enfin que dans tous les cas il n’a été nullement question de rétribution des droits d’auteurs, sous-entendu : zéro ou quelques centimes :)
  • la raison économique : pour les éditeurs avec qui j’ai pu échanger plus profondément, publier sous licence libre, avec en plus la volonté de diffuser gratuitement la version électronique était suicidaire. Pour eux, le don de la version électronique est synonyme de perte de marché. C’est peut-être vrai du point de vue de l’éditeur (quoique cela reste à prouver), mais il n’empêche que le principe est inacceptable : si quelqu’un me demande la version électronique du livre, je la lui envoie sans hésiter, contrat d’exclusivité ou pas, car c’est mon devoir de scientifique. Par ailleurs que dire des exemplaires disponibles en bibliothèque? et la version électronique ne permet-elle pas un usage plus complet, comme par exemple la recherche de mots, un accès direct à cerains passages, etc.? C’était le principal point de clivage et j’ai même eu des échanges tendus à ce propos. Il s’agit de deux conceptions différentes de l’objet-livre : une conception monolithique (un livre est une oeuvre aboutie, finie une fois pour toutes) et basée sur la notion de propriété / exclusivité, et l’autre conception du livre-projet qui implique de laisser au lecteur une série de droits que s’approprient injustement les éditeurs. Partant de ce constat, la messe était dite.

Qu’en est-il également du droit d’auteur concernant les illustrations de l’ouvrage ?

Il y a deux types d’illustrations. En premier viennent les photographies de la Farm Security Administration que l’on trouve aujourd’hui à la Bibliothèque du Congrès. Ils s’agit de photographies réalisées par de grands photographes célèbres qui étaient alors embauchés par le gouvernement Roosevelt : Dorothea Lange, Walker Evans, Arthur Rothstein… Toutes ces photographies sont dans le domaine public (à condition de mentionner le numéro de référence) et le fait de mentionner l’auteur est plus un soucis d’exactitude. Concernant les 3 cartes climatiques du premier chapitre, elles sont elles aussi dans le domaine public (produites par un institut public).

Cet ouvrage est une publication scientifique ayant fait le choix de l’impression à la demande, cela aussi c’est assez rare dans le milieu ?

L’impression à la demande est peu pratiquée dans la communauté scientifique et pourtant elle mériterait de l’être. Après tout, pourquoi encombrer les sous-sols universitaires de stocks d’invendus et occuper les secrétaires de labo à la gestion des ventes par correspondance? Une revue ou une collection pourrait très simplement, tout en conservant un système d’évaluation par comité de lecture, se contenter de produire le PDF à imprimer à la demande. Plus besoin de débourser alors de l’argent public auprès d’un imprimeur, fut-il l’imprimeur officiel de l’université. Quant à la vente et les revenus, il s’agit la plupart du temps d’associations de type loi 1901, donc un compte en banque suffit.

Le modèle Framabook utilise ce système et je compte d’ailleurs le cloner avec un universitaire de mes amis, pour monter une collection sur le même modèle.

Christophe Masutti - CC by

Reprenons ta casquette Framasoft, comment vont les framabooks ?

Parlons-en, justement. Les Framabooks vont bien et la communauté est de plus en plus active. J’en profite d’ailleurs pour les remercier tous pour le travail fourni en relecture, édition des formats, etc. Nous venons de sortir un premier roman, intitulé #Smartarded, par Pouhiou : c’est une nouveauté à double titre, d’abord pour son caractère inédit, mais aussi parce que nous n’avons a priori aucune idée sur la réception du livre par les lecteurs, ou même la nature du lectorat que nous aurons. C’est un domaine encore inconnu, tout comme l’élaboration du modèle de publication Framabook, grâce auquel les arcanes de l’édition commencent à nous être familières. C’est cela qui est stimulant :)

Après des années de « dictature bienveillante » de la part d’aKa, tu a récemment pris le relais en tant que président de l’association Framasoft. Pas trop dur, expérience enrichissante ?

Ce n’est pas ma première présidence d’association mais celle-ci est vraiment passionnante. J’en retiens surtout qu’un président-fondateur n’est pas un président comme les autres, et que la transition n’est pas évidente du point de vue du public (les membres, eux, me connaissent depuis assez longtemps, bien que par rapport à certains je fais figure de petit nouveau). J’assure donc la première présidence tournante de Framasoft. Cela demande du temps bien sûr mais nous avons tellement à construire ! La première raison à cela, c’est justement que le fondateur intervient depuis septembre 2012 en tant que salarié, avec une feuille de route qui permettra d’accroître les activités de Framasoft. En termes de productivité, l’arrivée de ce second permanent permet déjà significativement de multiplier les oportunités de partenariats, pour lesquelles il faudra faire attention de ne pas rester dans la phase consensuelle du Yakafokon. D’un autre côté, tout le monde est motivé pour cela et s’engage beaucoup dans ce tournant majeur dans l’histoire de Framasoft. De ce point de vue, la présidence n’est rien, l’engagement fait tout.

Un dernier mot ?

Pour rester dans le thème de ce billet, je tiens à signaler que sans Framasoft, je n’en serais pas arrivé à publier cet ouvrage sous licence libre. C’est bien parce qu’il existe des modèles comme Framabook que l’on voit clairement que le libre peut concerner bien d’autres secteurs que le logiciel. L’objectif de Framasoft est de promouvoir le logiciel libre et la culture libre, et cela implique d’être présent sur de multiples secteurs d’activité, en particulier envers le public. Après plus de vingt ans d’existence du noyau Linux, il faut attendre 2012 pour entendre que le logiciel libre dans l’administration publique est finalement une bonne idée, ce qui me laisse penser qu’on est encore bien loin d’adopter le Libre comme modèle de développement dans la société. Nous sommes convaincus qu’en promouvant le logiciel libre et qu’en montrant par l’exemple que le Libre est un bon modèle pour le développement de l’économie et des connaissances, nous nous dirigeons vers une meilleure société. C’est incroyable (et tellement positif) de voir à Framasoft le nombre de personnes capables de donner bénévolement de leur temps et motivés par le souci du partage (de code ou d’autres choses).

Pour cela, on pourra toujours les remercier mais je pense que la meilleure chose qu’on puisse leur donner, c’est un cadre d’activité, une structure, et c’est ce que propose Framasoft. Pour cela, il faut des moyens et là encore ce sont les dons de ceux qui nous font confiance qui nous permettent d’être efficaces.

La campagne de soutien à Framasoft va donc commencer mi-octobre. Elle est particulièrment importante cette fois car l’enjeu pour nous est de pouvoir envisager nos activités sur un plus long terme que seulement les prochains 6 mois. Il nous faut du temps pour développer des projets et trouver encore d’autres moyens de financement. Précisons encore deux choses : en tant qu’association reconnue d’intérêt général (et je pense que ce n’est plus à démontrer), les dons sont déductibles des impôts, par ailleurs il n’est nullement obligatoire d’attendre la campagne officielle de soutien, il suffit de vous rendre sur http://soutenir.framasoft.org/ ;)

Crédit photo : Violaine Masutti (Creative Commons By)

Notes

[1] Le SAGE n’existera qu’à partir de janvier 2013, il regroupera entre autre les membres de l’actuel département d’histoire des sciences de la vie et de la santé (dhvs), dont je fais partie.

Le: 25 09 2012 à 11:30 FrenchWeb.fr Auteur: Gregory Pouy

Vous n’aurez pas manqué de remarquer qu’hier, tout le monde ou presque, les médias les premiers, a diffusé un message expliquant que les messages privés de 2007 à 2009 sur Facebook avait été mis à disposition de manière publique sur les profils publics. Que ce soit vrai ou faux (Facebook dément avec force), ce que je [...]


Le: 25 09 2012 à 11:28 presse-citron.net Auteur: Eric

Le PDG de Twitter a récemment annoncé qu'il serait bientôt possible de télécharger ses messages postés sur Twitter pour faire une sauvegarde d'archivage sur son PC.

Le: 25 09 2012 à 11:14 korben.info Auteur: Korben

Attention, l'explication se trouve après la vidéo... Ne vous gâchez pas la surprise ! Ce spot est l'oeuvre de la banque Febelfin qui a souhaité sensibiliser les gens à ce qu'ils laissent en ligne... Et ça marche ! Bravo les hackers :-) Merci à Le Kinder pour le partage !

Le: 25 09 2012 à 11:02 FrenchWeb.fr Auteur: Bertrand Lenotre

Lancée il y a quelques jours, MyTourManager est la première plateforme indépendante française de mise en relation entre artistes et organisateurs d’évènements musicaux. Ce nouveau service est créé par Laure Decailly, 28 ans, diplômée du CELSA et le studio de création Le Ciel Etait Rose. MTM est une place de marché B2B. Les artistes y fournissent des informations sur leurs conditions de [...]


Le: 25 09 2012 à 11:00 Websourcing.fr Auteur: Lionel Roux

Le: 25 09 2012 à 10:46 ballajack.com Auteur: Ballajack

Découvrez Onetous un réseau social de proximité qui permet de rentrer en relation avec des personnes proches de chez soi : passions, affinités, personnalité... Related posts:

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Le: 25 09 2012 à 10:45 presse-citron.net Auteur: Eric

Un hacker affirme avoir déjà pu opérer une modification sur un iPhone 3GS doté d'iOS6 qui lui permet d'installer et faire fonctionner Google Maps. Un espoir pour l'iPhone 5 ?

Le: 25 09 2012 à 10:36 korben.info Auteur: Korben

Depuis plusieurs mois, la police de New York expérimente des drones pour peut-être prochainement faire régner la paix, la sécurité et le bonheur sur la ville. "Paix, sécurité et bonheur" c'est de la novlangue et ça pourrait se traduire, je pense, par "Contrôle, surveillance et répression". Un vétéran de l'armée américaine, artiste à ses heures [...]

Le: 25 09 2012 à 10:33 FrenchWeb.fr Auteur: Iris Maignan

La deuxième édition du Top 250 des éditeurs de logiciels français, organisée par Syntec numérique et Ernst&Young, avec le soutien cette année du Syndicat National du Jeu Vidéo (SNJV), publie pour la deuxième année consécutive son « Top250, panorama des éditeurs et créateurs de logiciels français ». Composé de 408 sociétés, soit près de 40 % de [...]


Le: 25 09 2012 à 10:30 WebLife Auteur: Baptiste

MySpace : Nouvelle interface dévoilée en vidéo
MySpace était racheté fin juin 2011 par Specific Media pour le montant de 35 millions de dollars. De longs mois plus tard, une vidéo de la nouvelle interface utilisateur, repensée ...

Via

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Le: 25 09 2012 à 10:07 ballajack.com Auteur: Ballajack

Un thème pour Windows 7 consacré au jeu d'aventures Grand Theft Auto (GTA) : 40 fonds d'écran en haute résolution, des icônes et des sons pour personnaliser son PC. No related posts.

Le: 25 09 2012 à 10:05 Framablog Auteur: aKa

On l’appelle sysadmin, adminsys ou plus correctement administrateur systèmes. Il a la lourde charge de s’occuper des serveurs d’une organisation.

Si vous avez l’impression qu’il bulle toute la journée, ne le critiquez pas ! Vous êtes en réalité en face d’un excellent administrateur systèmes :)

Anita Hart - CC by-sa

12 raisons pour lesquelles tous les administrateurs système devraient être paresseux

12 Reasons Why Every Linux System Administrator Should be Lazy

Ramesh Natarajan - 12 juillet 2011 - GeekStuff.com
(Traduction : Husi10, Ag3m, Gatitac, Kathryl, Thur, M0tty, Ag3m, Dominique, minimoy)

Un administrateur systèmes fainéant est un bon administrateur systèmes
Anonyme

Le travail d’un administrateur systèmes n’est généralement pas visible des autres services informatiques ou par les utilisateurs finaux. La plupart du temps, ils regardent les administrateurs systèmes en se demandant pourquoi ils n’ont pas l’air de faire grand chose.

Quand vous voyez un administrateur systèmes qui est tout le temps en train de courir dans tous les sens, à essayer d’éteindre le feu, en prise constante avec des problèmes de production, vous pourriez penser qu’il travaille dur et fait vraiment bien son boulot. Mais en réalité il ne fait pas bien son job.

Quand vous voyez un administrateur système (UNIX/Linux, base de données, réseau), qui apparemment n’a pas l’air de se fouler beaucoup au bureau, semble toujours relax et n’a pas l’air d’avoir une activité visible, vous pouvez être certain qu’il fait bien son job.

Voici 12 raisons qui font d’un administrateur systèmes paresseux le meilleur des administrateurs systèmes :

1. Qui est le chef ? La principale raison pour laquelle un administrateur systèmes paresseux est le meilleur administrateur système possible tient à son attitude. Ils ne voient pas tout à fait les machines comme les autres services informatiques. Il y a une différence entre les développeurs et les administrateurs systèmes. Les développeurs pensent qu’ils sont là pour servir les machines en écrivant du code. Il n’y a rien de mal dans cette démarche puisque les développeurs prennent beaucoup de plaisir à écrire du code. Mais les administrateurs systèmes pensent tout autrement. Ils pensent au contraire que les machines sont à leur service. Tout ce qu’ils ont à faire, c’est nourrir la machine, la rendre heureuse et laisser la machine faire tout le dur labeur pendant qu’ils se relaxent et paressent. La première étape pour devenir un administrateur systèmes paresseux demande parfois un léger changement d’attitude : il s’agit de faire savoir à la machine que vous êtes le patron.

2. Écrire des scripts pour des tâches récurrentes. Être fainéant, c’est être malin. Un administrateur systèmes intelligent est passé maître dans tous les langages de script (bash, awk, sed, etc.). Chaque fois qu’il sera obligé de faire une tâche, et s’il y a une vague possibilité qu’on puisse avoir besoin de ce même travail plus tard, il écrira un script pour faire le boulot. Ainsi, lorsqu’on lui demandera plus tard de refaire le même travail, il n’aura pas à réfléchir ; il aura simplement à exécuter le script puis à retourner paresser.

3. Tout sauvegarder. Être fainéant signifie tout sauvegarder. Un administrateur systèmes paresseux sait qu’il doit donner un peu de temps dans la création de processus de sauvegarde, et donc écrire des scripts de sauvegarde pour toutes les applications et tous les systèmes critiques. Quand l’espace disque n’est pas un problème, il planifie la sauvegarde pour toutes les applications même si elles ne sont pas critiques. Ainsi, dès que quelque chose se passe mal, il ne se met pas à transpirer de stress, il a simplement besoin de restaurer une sauvegarde pour pouvoir retourner aux trucs paisibles qu’il faisait juste avant.

4. Prévoir un plan de reprise d’activité. Les administrateurs systèmes n’aiment pas avoir à gesticuler dans tous les sens en cas d’urgence. Quand tout se passe bien, ils prennent un peu de temps pour créer un plan de reprise d’activité et de récupération de données.Comme ça, quand les choses tournent mal, ils peuvent le suivre, faire revenir rapidement les choses à la normale, puis retourner encore à leur rythme d’administrateur paresseux.

5. Configurer un sytème à haute redondance. Les administrateurs sysèmes fainéants n’aiment pas être réveillés au beau milieu de la nuit à cause d’une bête panne materielle. Ils font donc en sorte que les periphériques soient hautement redondants. Cela inclut à la fois le matériel et les logiciels : ils ont deux cartes réseaux configurées, une double alimentation, deux disques durs, bref tout en double. Comme ça, si l’un des équipements vient à flancher, le système fonctionnera toujours et notre fainéant d’administrateur pourra se concentrer à la réparation de l’équipement défaillant lorsqu’il se lèvera le matin, à la même heure que tous les autres matins.

6. Laisser de la place pour une croissance inattendue. Un administrateur systèmes paresseux ne permet jamais à son système de tourner à plein régime. Il garde toujours de la place libre en cas d’imprévus. Il s’assure que le système ait assez de CPU, ainsi que de l’espace disque et de la RAM disponibles. Lorsque le service commercial décide de larguer des tonnes de données pendant la nuit, il n’a pas besoin de réfléchir à la façon de gérer cette croissance inattendue.

7. Être proactif. Être paresseux ne veut pas dire que vous devez juste vous assoir et vous tourner les pouces. Être paresseux signifie être proactif. Les administrateurs systèmes paresseux détestent être réactifs. Ils anticipent toujours les difficultés et l’expansion. Lorsqu’ils ont du temps libre à disposition (et ils en ont donc beaucoup), ils gardent un œil attentif sur les projets afin de gérer la future croissance et éviter que des problèmes non prévus adviennent.

8. Adorer les raccourcis clavier. L’administrateur systèmes fainéants connaît tous les raccourcis clavier de toutes ses applications favorites. S’il passe quotidiennement un temps significatif sur une application, la première chose qu’il fait est de maîtriser les raccourcis clavier de cette application. Il tient à passer le moins de temps possible sur l’application pour parvenir à ses fins, et ainsi redevenir paresseux.

9. Passer maître de la ligne de commande. Tous les administrateurs systèmes paresseux sont des pros des lignes de commande. Cela s’applique aux administrateurs systèmes Linux, aux administrateurs de bases de données, aux administrateurs réseaux, etc. Si vous voyez un administrareur systèmes lancer une interface graphique alors que la même tâche peut être effectuée en ligne de commande, alors vous savez qu’il n’est pas un administrateur systèmes paresseux. Il y a deux raisons pour lesquelles les administrateurs systèmes paresseux adorent les lignes de commande. D’une, il peut faire les choses rapidement en ligne de commande. Et d’autre, ça lui donne l’impression que c’est lui le patron et non pas le système. Quand vous utilisez les lignes de commande, vous avez le contrôle, vous savez exactement ce que vous voulez faire. Quand vous utilisez une interface graphique, vous êtes à sa merci sans être sûr à 100% de ce qu’il va produire après votre clic.

10. Apprendre de ses erreurs. Les administrateurs systèmes fainéants n’aiment jamais faire les mêmes erreurs deux fois. Ils détestent travailler sur des problèmes imprévus, mais quand ils apparaissent, ils travaillent à le corriger, réfléchissent à comment cela est arrivé, et mettent immédiatement le nécessaire en place pour que cela n’arrive pas de nouveau. Travailler sur le même problème deux fois est considéré comme un véritable péché pour un administrateur système fainéant. Il aime travailler sur le problème une seule fois, faire ce qu’il faut pour prévenir l’apparition de la même erreur dans le futur, et retourner tranquillement paresser.

11. Se former en continu aux nouvelles technologies. Il n’y a rien de mal à apprendre de nouvelles technologies pour avoir un meilleur travail ou juste pour se tenir à jour des progrès dans le domaine. Mais un administrateur systèmes paresseux n’apprend pas de nouvelles technologies pour cette raison. Il s’y forme parce qu’il aime garder le contrôle sur les systèmes en permanence. Il sait que c’est lui le chef et non pas la machine. Ainsi, quand arrive une nouvelle technologie, il prend le temps de l’étudier. À présent, il a de nouveaux outils pour occuper le système tandis qu’il continue à paresser. C’est la paresse qui est la principale motivation de sa formation.

12. Tout documenter. C’est ce qui distingue les bons administrateurs systèmes des meilleurs administrateurs systèmes. Voyez-vous, l’administrateur systèmes paresseux déteste être dérangé lorsqu’il est sur la plage à profiter de ses vacances. Donc, que fait-il ? Il documente tout, de manière à ce que lorsqu’il n’est pas là, d’autres puissent faire le boulot de base à sa place, et fassent tourner les choses sans le déranger pendant ses vacances. Il y a une autre raison pour laquelle l’administrateur systèmes paresseux documente tout : parce qu’il oublie des choses. Comme il est fainéant, il a tendance à oublier ce qu’il a fait le mois précédent. Puisqu’il n’aime pas du tout réfléchir deux fois sur le même sujet, il documente tout, et quand il aura besoin de faire la même chose dans le futur, il reviendra à sa documentation pour comprendre ce qu’il avait fait la fois précédente.

Voilà. Être un administrateur systèmes fainéant, ce n’est pas si simple en fait, c’est même beaucoup de travail. Si vous n’en êtes pas, vous saurez désormais les reconnaître. Si vous en êtes et que vous courrez toujours partout, vous savez maintenant ce qu’il vous reste à faire.

Crédit photo : Anita Hart (Creative Commons By-Sa)

Le: 25 09 2012 à 10:00 presse-citron.net Auteur: Eric

Rogo est un nouveau service en ligne qui permet de connaitre en un clic quel est le meilleur moment pour acheter un billet d'avion le moins cher possible sur une destination donnée grâce à un puissant outil statistique unique en son genre.

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Animations Web, codes HTML dynamique, responsive design... La nouvelle suite d'outils de l'éditeur a pour but de répondre aux principaux besoins du développement et de la création graphique pour le Web. Actualité



Le: 25 09 2012 à 09:50 presse-citron.net Auteur: Camille

Le célèbre site d’achats groupés Groupon vient d’annoncer l’acquisition de la start-up new-yorkaise Savored pour un montant non communiqué.

Le: 25 09 2012 à 09:49 presse-citron.net Auteur: Camille

Adobe vient d’annoncer le lancement officiel de son service PhoneGap Build qui permet de compiler en ligne des applications PhoneGap.

Le: 25 09 2012 à 09:41 FrenchWeb.fr Auteur: Bertrand Lenotre

Au sommaire de ce deuxième rendez-vous : 2 levées géantes dans l'e-commerce, un investissement russe dans la Silicon Valley, une start-up de l'Oural, la guerre des navigateurs.


Le: 25 09 2012 à 09:40 ballajack.com Auteur: Ballajack

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This is our weekly column were we share our favorite design related articles, resources and cool tidbits from the past week. Enjoy :) If you would like to receive our daily updates and keep up to date with the latest and greatest articles and resources from the design community, you can follow us on Twitter, on Facebook or by subscribing to our RSS feed. Our Weekly Design News has been...

Le: 25 09 2012 à 09:33 WebdesignerNews Auteur: admin

Plunk is a handy tool for finding out if your designs work within a mobile setting. You can create click tests that give immediate feedback and efficiently visualize where mobile users respond. It allows you to test both mobile web pages and applications. Homepage: http://www.plunkapp.com/

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RefineSlide est un plugin jQuery qui permet de mettre en place un

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Lancé il y a deux ans, le portail décline en 12 sites thématiques "tout sur" l'univers des finances personnelles (retraite, impôts, placements, immobilier, crédits, banque en ligne...). Entretien avec son CEO, Jean-Damien Châtelain.


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Smart Time Ago is a little jQuery library to update the relative timestamps in your document intelligently. (e.g “3 hours ago”).Smart Time Ago will check and update the relative time ...

Le: 25 09 2012 à 02:45 jqueryrain.com Auteur: Admin

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