Tout savoir sur l’open source
Avec l’adhésion de Microsoft à la Fondation Linux, les nouvelles informations concernant portage de SQL Server sur Linux ont fait sensation lors de la dernière conférence Connect() 2016.
La Document Foundation annonce la disponibilité de LibreOffice 5.3 en version bêta1. La version finale, attendue pour le mois de janvier 2017 devrait contenir des nouveautés importantes pour l’amélioration de l’interface et des performances. Au-delà des corrections d’anomalies identifiées, elle devrait aussi apporter de nouvelles fonctionnalités.
L’équipe de développement du gestionnaire de contenus open source le plus populaire vient de livrer la version 4.7 Release Candidate de WordPress.
Disponible depuis le 22 novembre la mise à jour de la distribution Linux Fedora arbore de nombreuses améliorations. Fedora est notamment la première distribution à basculer sur le serveur d’affichage Wayland par défaut.
Les versions 3.6.6 et 3.5.8 corrigent une faille permettant l’authentification sans mot de passe correct.
L’Union des entreprises du logiciel libre et de l'open source en France a réalisé à l’occasion de la conférence Paris Open Source Summit 2016 une enquête auprès de ses membres.
La firme AMD annonce la mise à jour de sa plateforme de calcul hétérogène ROCm. Elle permet la résolution de problèmes complexes en englobant de nombreuses configurations matérielles et ajoutant le support d’OpenCL.
Le chiffre d’affaire du secteur open source en France continu de grimper. Il devrait atteindre 4,5 milliards d’euros à la fin de l’année 2016.
La firme de Redmond a annoncé il y a quelques jours qu’elle rejoignait l’organisation. Il lui en coûtera 500 000 dollars par an.
Créé par Google pour ses besoins internes, Kubernetes est disponible en open source.
Kubernetes est un gestionnaire complet de provisionnement de conteneurs sur un cluster. En d’autres termes, Kubernetes associé à Docker permet d’avoir un PaaS en simpli ant sa mise en ooeuvre. Kubernetes est en fait une association de plusieurs services développés en Go. On retrouve donc généralement le service d’API, le contrôleur de gestion et le plani cateur qui vont généralement tourner sur le serveur maitre.
Les "esclaves" (appelés "minions") vont simplement faire tourner deux services : kubelete qui va démarrer le conteneur en respectant la demande du contrôleur, et un service "proxy" pour permettre la réponse des services (y compris des conteneurs qui tournent sur d’autres minions)
Ces services utilisent Etcd, un serveur clés/valeur développé et utilisé par CoreOS. A n de communiquer
de conteneur à conteneur sur des machines distantes, un service de réseau superposé
(ou "overlay network") tel que Flannel sera opportun.
Tous les noeuds utilisent Flannel et Etcd pour communiquer et échanger des informations. A cela s’ajoute une API REST qui donne accès aux informations du cluster, un interfaceWeb 18 qui permet de créer aisément des Pods (voir ci-dessous) sans accéder au terminal ou encore un client en ligne de commande nommé "kubectl" permettant, même à distance, de paramétrer le cluster, les services, etc.
Kubernetes apporte son propre vocabulaire à assimiler. Pod Entité englobant plusieurs conteneurs liés entre eux, Service Point d’accès à une ressource encapsulée dans un Pod, Replication Controller qui permet de déclarer des Pod dont le nombre de répliquas est malléable, et Deployment est comme un "Replication Controller" mais permet aussi de mettre à jour les versions de service sans interruption de service, etc.
L’équipe d’ARK, une plateforme d’implémentation de la technologie blockchain a annoncé la libération de ces codes sources et leurs publications sur GitHub.
L’équipe de développement du gestionnaire de contenus open source a annoncé hier que les paquetages des version stables ne seraient plus accompagnés des librairies de développement PHP.
L’événement majeur de la filière du Libre et de l'Open Source aura lieu à Paris cette semaine.A à la fois une vitrine de l’ écosystème du libre et une chambre d'écho internationale, Paris Open Source Summit est un lieu de rencontres et de collaboration sans commune mesure.
L’outil de déploiement web dédié à la solution open source de supervision et de monitoring Icinga fait l’objet d’une mise à jour majeure. Elle intervient 4 mois seulement après la livraison d’Icinga Director 1.1.0 et contient de nouvelles fonctionnalités, des améliorations et quelques corrections de bugs.
Google annonce la fin du support du plug-in pour environnement de développement Éclipse et incite les développeurs à migrer vers la solution Android Studio.
Le site héberge une plusieurs dizaines de projets issus de différentes agences gouvernementales.
La faille dénommée « Dirty Cow » a été corrigée pour les utilisateurs Linux, mais la communauté Android devra attendre le mois prochain. Étonnamment, la faille qui permet aux applications de contourner les protections clés du système d'exploitation n’est pas concernée par le patch livré par Google pour ce mois de novembre.
L’éditeur iconique du monde open source à fêté soufflé ses 25 bougies le 2 novembre dernier. Il s’offre par la même occasion une mise à jour après quelques années de maintenance.
Strategy Analytics livre les dernières statistiques d’utilisation des systèmes d’exploitation mobiles. Android affiche une position de leader incontestable, une insolente hégémonie qui n’est pas sans rappeler celle de Microsoft pour les OS de bureau.
Cette nouvelle version alpha complète les nouvelles fonctionnalités présentées pour la future mise à jour majeure de SilverStripe. Le gestionnaire de contenus open source s’offre quelques corrections de bugs et une meilleure stabilité. La troisième version alpha donne aussi la part belle aux critiques des utilisateurs pour une manipulation plus confortable de la solution.
La compilation anticipée, de son petit nom compilation AOT, sera disponible pour systèmes d’exploitation Linux 64-bit avec JDK 9.
Le langage Swift développé par Apple et rendu open source depuis juin 2015 montre de belles qualités. Il lui reste seulement un défaut principal, ce langage n’est pas encore développé pour des applications côté serveur. Cette lacune semble être prise en compte par la communauté Swift qui a ouvert il y a quelques jours un groupe de travail dans ce sens.