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w3sh s’efforce (avec plaisir) d’être le point de rencontre entre la mode et le design, la musique et l’édition, la beauté et l’hi-tech, d’être un espace de découvertes et de détente. C’est un endroit de vie, en constant renouvellement.
Le Blog du Modérateur est un des blogs officiels du site de recherche d'emploi Regionsjob. Ouvert début 2007, il traite de nombreux sujets en rapport avec l'actualité du web :
Les CV originaux sont à la mode et risquent de le rester. Non pas qu'ils soient forcément efficaces, mais ils permettent au moins de faire parler et font bénéficier à leurs auteurs d'une bonne visibilité. Dernièrement, Mode(s) d'emploi a relayé un CV Infographie sous-traité à un graphiste. Si vous souhaitez faire de même, plus besoin de rémunérer un professionnel. Visualize me permet de transformer gratuitement son CV en infographie. Les résultats sont d'assez bonne qualité, même s'il vous faudra un CV fourni pour qu'ils ressemblent à quelque chose.
Cette page claire et bien organisée liste les différentes fonctionnalités tournant autour de HTML5 et leur niveau de support dans les navigateurs : peut-on les utiliser dès à présent, faut-il penser à utiliser une alternative, faut-il les éviter ? Tout ceci en fonction des parts de marché actuelles des navigateurs et de leurs capacités.
En 2012, l’industrie du web semble, comme en 2008, épargnée par la morosité générale. Peut-être parce-que le Web a connu sa bulle avant les autres... Mais cela va-t-il durer éternellement ?
L’arrivée de Free Mobile sur le marché de la téléphonie le 12 janvier a beaucoup fait parler d’elle. Les opérateurs historiques savaient que Free ferait une entrée fracassante, même si les chiffres qui circulent dans la presse ne sont pas confirmés par Iliad pour le moment.
L’éditeur de jeux sur Facebook Kobojo, annonce le lancement de la version mobile de PyramidVille. Le jeu prend le nom de PyramidVilleAdventure. Il est disponible sur iPhone, iPod ou iPad, en français, anglais, italien, espagnol et allemand. Les adeptes de PyramidVille retrouveront le même esprit : bâtir une ville inspirée de l’Egypte ancienne et en gérer les [...]
Quels sont les candidats les plus visibles sur le web, et sur quels canaux ? L’éditeur Digimind, spécialisé de la veille stratégique, a réalisé une infographie sur la visibilité des candidats à l’élection présidentielle les plus connectés, en faisant un focus sur le budget internet des campagnes, l’audience des sites partisans, la mesure de couverture [...]
Médiamétrie publie les derniers chiffres relatifs à l’audience de l’Internet en France sur le dernier mois de l’année 2011. Premier bilan : les sites de cuisine ont majoritairement attiré les internautes en ces fêtes de fin d’année. L’audience de la sous-catégorie « cuisine / Gastronomie » a augmenté de 8 % entre novembre et décembre 2011, pour atteindre [...]
Les grands patrons du digital ont couronné cette année neuf lauréats pour leur innovation dans le marketing digital. Reportage en images sur cette quatrième édition!
Premier article d'une série sur les extensions et bookmarklets. Aujourd'hui, présentation et quelques exemples.
L’IAB - Interactive Advertising Bureau – publie deux livres blancs dédiés au Trading Media et au Marketing Mobile. L’IAB y soulève plusieurs problématiques : Comment fonctionnent les Ad Exchanges, en quoi changent-ils le marché ? Qu’est-ce-que le Real Time Bidding ? Quand utiliser ces technologies et comment en tirer parti ? Le livre blanc dédié au [...]
Trois mois que Groupon est rentré en bourse, et après des débuts tumultueux. L’action est plutôt stable et c’est une mauvaise nouvelle ! Groupon est censé être une de ces startups qui grandissent sans cesse, et son action devrait suivre. Cernée de toute part par des sites de deals qui se multiplient, Groupon vient de racheter [...]
La bataille des beauty box n’en finit pas. La start-up allemande Glossybox, spécialisée dans la vente de produits de beauté par abonnement, vient tout juste d’annoncer l’acquisition de son homologue français Mon Coffret Beauté. Le montant de la transaction reste pour le moment inconnu. Glossybox propose à ses abonnées un « coffret beauté » de 5 cosmétiques de [...]
Une affaire dont on a peu parlé ici secoue le petit monde de l'industrie du web et de la high-tech au coeur de la Silicon Valley : selon plusieurs blogs américains, une enquête du Département de la Justice de Californie aurait mis à jour une entente illicite entre des entreprises comme Adobe, Apple, Google, Intel, Intuit, Lucasfilm, ou encore Pixar.
Scrollorama est jun plugin jQuery qui va utiliser le CSS3 pour rendre le scrolling bien plus fun.
L’association pour le développement de l’économique numérique en France (Aden), vient de publier les résultats de son enquête nationale sur « Les entreprises et Internet ». Basée sur un panel de près de 7000 sociétés, dont 87% comptent moins de 10 salariés, cette étude permet de dresser un véritable état des lieux des pratiques numériques des TPE et PME [...]
Cet article fait partie d’un nouveau rendez-vous hebdomadaire sur Presse-Citron. Une nouvelle start-up française vous sera présentée chaque semaine : le Jeudi à 11h. Ce mois de Janvier sera consacré au jeu, et aux start-ups qui se sont spécialisées d’une manière ou d’une autre dans ce domaine. A la fin du mois, les lecteurs de Presse-Citron seront
Suite au récent rachat d’Actiplay – agence spécialisée dans les jeux 2D et 3D – ConcoursMania lance une plateforme baptisée Actiplay Marketing Services. Elle permet désormais aux marques de réaliser, de A à Z, des campagnes de jeux marketing, et facilite leur mise en place : acquisition, fidélisation, mesure de e-réputation, monétisation de l’audience etc… Entretien avec [...]
Edition spéciale. Ilan Abehassera revient sur le lancement US très remarqué cette semaine des nouvelles fonctions de Producteev dont il est le CEO. Il évoque également les startups Timehop et Stripe.
Le Salon E-Marketing s’est déroulé cette semaine au Palais des Congrès à Paris. Parmi les exposants, FrenchWeb a rencontré Netaffiliation, qui, après avoir pris une participation dans deux nouvelles sociétés orientées mobile (Swelen et Loodies), lance une une offre de marketplace mobile. Une nouvelle stratégie pour l’un des leaders de l’affiliation, qui se déploie davantage à l’international. Entretien [...]
« Nous avons tous intérêt à défendre l’Open Source contre les forces qui l’affaiblissent », nous affirme ici Matthew Butterick, juriste et passionné de typographie[1].
Constatant que de nombreux projets se disent open source alors qu’ils n’en possèdent pas les caractéristiques, il nous propose ici de le définir en sept points, distinguant la réalité de ce qu’il appelle sa dilution.
Vous ne serez pas forcément d’accord, surtout si vous êtes plus « logiciel libre » (version canal historique Richard Stallman) que « Open Source ». Mais on devrait pouvoir en discuter sereinement dans les commentaires :)
Seven essential qualities of open source
Matthew Butterick - Janvier 2012 - TypographyForLawyers.com
(Traduction Framalang : Goofy, OranginaRouge, antistress)
Les citations tronquées déforment les propos. Beaucoup connaissent la fameuse citation de Stewart Brand selon laquelle « l’information veut être gratuite » (NdT : « information wants to be free. »). Cette phrase, prise isolément, est souvent citée à l’appui de thèses selon lesquelles toute contrainte sur l’information numérique est futile ou immorale.
Mais peu ont entendu la deuxième partie du propos, rarement citée, qui prend le contrepied de la première partie : « l’information veut être hautement valorisée » (NdT : « information wants to be expensive. »). Lorsque l’on reconstitue le propos dans son entier, il apparait que Brand veut illustrer la tension centrale de l’économie de l’information. Lorsque le propos est tronqué, sa signification en est changée.
Les citations tronquées ont aussi déformé le sens de « Open Source ». Au fur et à mesure que le monde de l’Open Source prenait de l’ampleur, il a attiré davantage de participants, depuis les programmeurs individuels jusqu’aux grandes entreprises. C’était prévisible. Tous ces participants ne sont pas d’accord sur le sens donné à l’Open Source. Ça aussi c’était prévisible. Certains participants influents ont tenté de diluer l’idée de l’Open Source, usant d’un raccourci réducteur pour décrire une démarche méthodique. Ça aussi, on pouvait s’y attendre.
Mais même si cela était à prévoir, il est toujours payant de combattre cette dilution. Sur le long terme, cela est néfaste à l’Open Source. Et pas seulement pour des raisons éthiques ou morales mais aussi pour des raisons pratiques et de viabilité. Si on laisse l’Open Source se diluer en acceptant de revoir à la baisse les attentes, ceux d’entre nous qui jouissent des avantages de l’Open Source seront perdants à terme. De la même façon, ceux qui contribuent à des projets pseudo-Open Source risquent de dépenser leur énergie au profit de causes douteuses. C’est pourquoi nous avons tous intérêt à défendre l’Open Source contre les forces qui l’affaiblissent.
Dans le même esprit, voici sept qualités que je considère comme essentielles pour définir l’identité de l’Open Source, par opposition aux formes diluées que revêt généralement ce mouvement. L’objectif de cet exercice n’est pas d’offrir une caractérisation univoque de l’Open Source. Ce serait à la fois présomptueux et impossible. L’Open Source est hétérogène par essence, comme tout ce qui apparaît sur la place publique.
Pourtant, le fait que nous puissions parler de l’Open Source en général signifie qu’il doit y avoir des caractéristiques irréductibles. Des gens raisonnables, par exemple, peuvent avoir des conceptions différentes de l’art. Mais qui irait contester la qualité de Mona Lisa ? De la même façon, s’il n’est pas raisonnable de parler de l’Open Source comme d’un bloc monolithique, il est tout aussi déraisonnable de prétendre que c’est un concept complètement subjectif. L’Open Source doit pouvoir être défini sinon le terme lui-même n’a pas de sens.
Pourquoi rédiger un essai sur l’Open Source sur un site Web traitant de typographie ? Premièrement parce que les outils open source prennent une part de plus en plus importante dans la conception des polices (citons par exemple RoboFab). Deuxièmement parce que des polices soi-disant open source sont en train d’être produites à une cadence accélérée. Troisièmement parce que l’approche utilisée pour l’Open Source est de plus en plus appliquée aux projets issus des domaines du design ou du droit. Quatrièmement parce que je m’intéresse personnellement de longue date à l’Open Source, ayant par exemple travaillé pour Red Hat (ajoutons que ce site tourne avec WordPress, un moteur de blog open source).
L’Open Source, en tant que méthode de conception d’un logiciel, permet l’émergence de produits compétitifs sans les besoins en capitaux et main-d’œuvre inhérents aux méthodes traditionnelles de développement des logiciels propriétaires. La plupart des projets open source à succès sont conçus comme des substituts de logiciels propriétaires à succès. Il n’y a pas de coïncidence. La demande en logiciels propriétaires est aussi ce qui créée la demande pour des alternatives open source.
De plus, le succès d’un projet open source dépend de sa capacité à rivaliser avec l’alternative propriétaire. Le temps, c’est de l’argent. Les logiciels open source qui ne remplissent pas leur office ne font pas des bonnes affaires au final. Bien que certains choisiront le logiciel open source pour des raisons purement politiques, les clients rationnels se prononceront sur la base d’un bilan coûts/avantages.
Personne ne travaille sur des projets open source gratuitement. Peut-être un petit groupe de développeurs contribue t-il à des projets open source pour se distraire au lieu de collectionner des timbres par exemple. Il s’agit là d’une minorité. La plupart du travail open source est réalisé par des développeurs professionnels qui sont rémunérés à un tarif professionnel.
C’est forcément vrai, et ce pour deux raisons.
Premièrement, les développeurs ne sont pas altruistes. Comme n’importe qui d’autre sur le marché du travail, ce sont des acteurs rationnels, et bien payés avec ça. Il n’y a aucune raison pour que ces développeurs se consacrent au développement de logiciels open source moyennant un salaire de misère alors qu’il existe plein d’entreprises qui accepteraient de les payer pour le même travail.
Deuxièmement, ainsi que nous l’avons déjà mentionné, le logiciel open source ne peut réussir que s’il a les moyens de rivaliser avec les alternatives propriétaires. Et il ne peut rivaliser avec les logiciels propriétaires que s’il parvient à attirer des développeurs de même niveau. Et la seule façon d’attirer ces développeurs est de les rémunérer au prix du marché. De la même façon qu’il n’y a pas de déjeuner gratuit, il n’y a pas d’avantage de logiciel gratuit.
Les développeurs de logiciels open source ne travaillent pas gratuitement, mais il existe un corollaire à cette affirmation : les projets open source bénéficient, pour une valeur équivalente, à ceux qui financent ce travail de développement — habituellement les employeurs des développeurs.
Si vous croyez que les entreprises de technologies sont des acteurs rationnels de l’économie, vous avez certainement raison. Une société investira son capital dans les activités les plus rentables qu’elle pourra trouver. Si une entreprise finance des projets open source, elle en espère un retour sur investissement supérieur aux autres options.
Alors que les défenseurs des logiciels libres ou open source tentent parfois d’en illustrer l’idée avec ces comparaisons : libre comme dans « entrée libre » ou comme dans « expression libre » (NdT : « free as in beer » et « free as in speech », deux images souvent utilisées en anglais pour distinguer les deux sens du mot « free », respectivement gratuit et libre), un ingénieur de Red Hat me l’a un jour plus exactement décrit de cette façon : « gratuit comme un chiot ». Certes vous ne payez pas les logiciels open source. Mais vous ne bénéficiez pas des avantages habituels des logiciels propriétaires : facilité d’installation, support d’utilisation, documentation, etc. Soit vous payez avec votre temps, soit vous payez quelqu’un pour ces services. Le résultat est que le coût des services liés au logiciel est déplacé à l’extérieur du logiciel lui-même au lieu d’être inclus dans son prix. Mais ce coût est seulement déplacé, et non supprimé.
L’Open Source ne pourrait pas fonctionner sans un filtrage méritocratique. Ce principe découle de l’idée que l’Open Source est une méthode pour créer des produits compétitifs. Pour obtenir des résultats de haute qualité, les projets open source doivent mettre l’accent sur les contributions de haute qualité, et rejeter le reste. Les projets open source sont ouverts à tous dans le sens où n’importe qui peut suggérer des changements dans le code source. Mais ces changements peuvent toujours être rejetés ou annulés.
L’idée de l’Open Source est mal employée quand elle est appliquée à des projets qui n’ont pas ce filtrage méritocratique et auxquels n’importe qui peut contribuer. Ces projets sont plutôt décrit comme du « partage de fichiers ». Ce qui distingue la méthode open source est son appui sur une communauté de développeurs pour trouver les meilleures idées. Cela signifie donc que la plupart des idées sont rejetées.
Les projets open source sont menés par des développeurs qui sont parfois appelés des « dictateurs bienveillants ». Habituellement il s’agit de ceux qui ont démarré le projet et qui sont considérés comme détenant la vision de l’avenir du projet.
Ils ne sont pas élus mais, d’un autre côté, il ne sont autorisés à rester au pouvoir que tant que les autres participants y consentent. C’est le principe de l’Open Source : n’importe qui peut récupérer le code source et l’utiliser pour démarrer un nouveau projet (cette pratique a pour nom le « forking »).
Cela arrive rarement. En fin de compte, les participants à un projet open source ont davantage à gagner à conserver le projet intact sous la direction d’un dictateur bienveillant plutôt que le fragmenter en de multiples projets. (notons ici encore l’influence des incitations rationnelles). De même, le dictateur a intérêt à rester bienveillant puisque le projet pourrait à tout moment se dérober sous ses pieds.
Cette exigence découle de l’idée que l’Open Source est une méritocratie. Il ne peut y avoir de filtrage méritocratique si toutes les contributions viennent d’une seule personne. Parfois certains publieront leur projet personnel et annonceront « Hé, c’est maintenant open source ».
Cela ne le rend pas pour autant open source, pas plus qu’acheter un pack de bières et des chips suffisent à faire une soirée. Vous aurez toujours besoin d’invités. De même pour créer une pression méritocratique, les projets open source ont besoin de plusieurs développeurs (pour créer une émulsion d’idées) et d’un dictateur éclairé (pour choisir parmi ces idées). Sans cette pression, on a affaire à du partage de fichiers, pas de l’Open Source.
Comme l’Open Source rencontre un succès grandissant, de plus en plus de projets de logiciels propriétaires ont été « convertis » en logiciels open source. Cela revient à greffer des ailes à un éléphant dans l’espoir qu’il volera.
L’Open Source est une manière de produire des logiciels (entre autres). Cela inclut certaines valeurs et en exclut d’autres. Cela n’est ni intrinsèquement meilleur que le développement de logiciels propriétaires ni applicable à tous les projets. Mais la décision de développer un projet open source n’a du sens qu’au démarrage du projet. De cette manière, le dirigeant, la communauté des développeurs et le code pourront évoluer autour des ces principes.
Un projet propriétaire démarre avec des principes radicalement différents et évolue autour de ces principes. Et il ne pourra pas devenir plus tard un projet open source, pas plus qu’un éléphant ne peut devenir un aigle. Néanmoins, ceux qui convertissent des projets propriétaires en projets open source suggèrent le plus souvent que cela offre le meilleur des deux mondes : une manière de partager les bénéfices d’un développement propriétaire avec une communauté open source.
Mais cela offre presque toujours le pire des deux mondes : l’ouverture des sources n’est qu’une manière cynique d’exporter les problèmes d’un projet propriétaire. Malheureusement c’est ce qui se produit la plupart du temps car des projets propriétaires qui fonctionnent n’ont rien à gagner à devenir open source. Les développeurs n’adoptent pas votre technologie propriétaire ? Ramenez son prix à zéro et renommez le « Open Source ». Votre logiciel propriétaire est rempli de mystérieux bogues insolubles ? Rendez le « Open Source » et peut-être que quelqu’un d’autre résoudra ces problèmes. Votre technologie est sur le point de devenir obsolète car vous avez été trop lent à la mettre à jour ? Peut-être que la rendre open source allongera sa durée de vie. Les entreprises refourguent leurs logiciels à la communauté open source quand elles n’ont plus rien à perdre.
Cependant cette technique n’a jamais payé. Les projets open source qui fonctionnent ont appliqué cette méthodologie très tôt et s’y sont tenu. Le simple engagement en faveur de l’open source n’est pas un gage de succès bien qu’il soit nécessaire.
La plupart de mes explications ci-dessus ont été formulées en termes de développement logiciel. Mais ce message a une portée qui va au delà du simple logiciel. Je pense que « l’Open Source » vient du monde du logiciel, et restera certainement plutôt adapté à ce type de projet, mais il n’y a aucune raison à ce qu’il ne convienne pas à d’autres types de projets. C’est déjà ce qui se passe.
La principale difficulté est d’appliquer de façon méticuleuse et réfléchie le modèle open source. Au fur et à mesure que l’Open Source s’étend et s’éloigne de ses racines traditionnelles, il va devoir faire face à un risque grandissant de dilution. Encore une fois, je ne prêche pas une définition canonique de l’Open Source. Peut-être que le meilleur que nous pouvons espérer est que ceux qui souhaitent qualifier leur projet d’open source apprendront d’eux-mêmes les caractéristiques qui font le succès de ce type de projet. Si vous n’aimez pas mon résumé de ces qualités essentielles, alors apprenez-en suffisamment à propos de l’Open Source pour venir avec le vôtre. Et ne vous sentez pas obligé, ne prenez pas cela comme un devoir à la maison — faites cela dans votre propre intérêt.
Ça ne peut pas faire de mal de se pencher sur les autres projets open source pour comprendre comment ils ont réussi. Une fois cet examen réalisé, si vous voulez modifier les grands principes pour votre propre projet, allez-y ! Je ne m’en plaindrai pas.
Et accordez-moi une faveur : n’appelez pas cela Open Source.
Il y a des jours où on ne veut pas mettre le nez dehors. Chape de nuages, bruine continue et un bon mal de tête des abus de la veille pour couronner le tout... dur de se motiver, non ? Ne luttez plus, vous ne comblerez de toute façons pas votre solitude en sortant... les sites de rencontres sont vos amis. Voilà ce qu'apparemment beaucoup d'internautes se disent.
Joël Ronez, le directeur des nouveaux médias de Radio France, a dévoilé hier les nouvelles ambitions numériques du groupe. Via ce plan stratégique baptisé « Nouveaux médias », Radio France espère bien combler le retard que le groupe a accumulé sur internet. En effet, selon les propres mots de Joël Ronez, l’audience web est encore « moyenne » avec seulement 2,2M [...]
Dans le cadre de sa nouvelle campagne de communication, Cetelem vient tout juste de lancer un film publicitaire largement inspiré des codes du « Péplum ». En plus de promouvoir les offres épargne et assurance de la marque, cette vidéo fait office de prélude à un nouveau dispositif d’advergaming accessible depuis le 23 janvier sur Facebook . Baptisé « Game of the Greens 2 : Le Secret de la Montagne » il s’agit du prolongement de « Game of the Green » premier du nom, sorte de Shoot’em up diffusé courant 2011.
L’association de l’économie numérique (Ascel), a annoncé hier le lancement d’une commission sur le développement de l’e-commerce en Europe. Présidée par Thierry Petit, co-fondateur de Showroomprive, cette organisation aura pour objectif de renforcer l’action de l’Acsel en faveur du développement de l’économie numérique, de l’e-commerce et des échanges en Europe. Cette annonce vient répondre aux récentes déclarations [...]
FrenchWeb recueille chaque matin une idée pour 2012. Aujourd'hui, Ludovic Chayriguès, Directeur Général de Joule France.
Bouygues Telecom a présenté sa nouvelle Box, la Sensation, permettant à leurs possesseurs de pouvoir jouer à des jeux vidéo d'une qualité graphique proche de celle affichée par les consoles Next-Gen.
C'est la valse des annonces des résultats financiers des grandes entreprises américaines. Après Microsoft, qui annonçait de bons chiffres (hors Windows) cette semaine, c'est au tour d'Apple de dévoiler le bilan de son dernier trimestre, et là c'est du lourd.
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